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  • La Revolte Des Carnassiers

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    Fiche du livre :

    Type : livre

    Auteur : Berton ROUECHE

    Parution : 1974

    Thème : menaces animales


    Sur l'auteur :

    (1910-1994) Médecin américain et écrivain. Etudes de médecine et études de journalisme (High School de Kansas City). A épousé la nièce de Dwight Eisenhower. Toute sa vie a collaboré au "New Yorker Magazine" ainsi qu'à d'autres revues. Le département des "Annales de la Médecine" a été crée spécialement pour lui. A produit une vingtaine de romans médicaux à base épidémiologique et de mystère. Certains épisodes de "Dr. House" sont inspirés de son oeuvre. A obtenu de nombreux prix médicaux.


    Préambule :

    la Révolte des carnassiers par Berton Rouéché, Hachette éd., 1976, coll. " Poche Rouge ", 1 vol. cartonné, in-12 ème , 185 pp. couverture illustrée  par Josette Mimran. roman d’expression anglaise (USA)
    1 ère  parution :1974  titre original : Feral
    menaces animales


    Synopsis :

    Lester, rédacteur à la revue « Modern Science » et Liza, un jeune couple de citadins, sont séduits par la vie à la campagne. Ils s’installent à Amangansett, une région boisée de l’île de Long Island et abandonnent leur chat dans la campagne environnante pour se sentir plus libres. Un voisin les avertit :
    « A mon avis, les véritables responsables, ce sont les gens qui perpétuent cet état choses. Je pense en particulier aux estivants qui viennent ici pour la saison et qui prennent un petit chat pour amuser leurs gosses. Quand vient le moment de retourner en ville, ils ne s’embarrassent pas de scrupules: hop, ils déposent le minet au bord d’un chemin et le laissent se débrouiller comme il pourra. »
    Ceci n’est pas bien du tout et le reste du récit le prouvera. Des signes inquiétants leur révèlent que des chats, beaucoup de chats, sont très présents autour de la propriété :
    « Je tournai la poignée et entrouvris la porte de quelques centimètres. Ils étaient toujours là. Il semblait y en avoir encore plus qu’avant. La cour en était remplie, ainsi que l’allée jusqu’à la limite du pré et de la forêt. Ils encerclaient la maison. Ils étaient tous tournés vers elle, parfaitement silencieux, assis ou allongés sur le côté, leurs yeux obliques à demi-clos, dans une attitude d’attente. »
    Bishop, un fermier, signale de nombreuses disparitions de bêtes domestiques. Un cerf est découvert mort, avec de graves blessures et les yeux crevés.  En un mot, les félins ne se contentent  plus d’observer les êtres humains ; à l’occasion, ils les attaquent. Leur voisine Julia en fera les frais, puisque mordue à la main par l’un des chats, elle mourra de septicémie à l’hôpital. De même, leur vieux chien Charlie se fera agresser à mort dans les bois. Lester se demande comment il pourrait se débarrasser du fléau. Une première visite auprès de Castelli, le gardien de la fourrière, ne produira aucun résultat sinon d’apprendre que les chats abandonnés sont légion en cet endroit. Il faudra la mort de l’un des policiers, le sergent Kruzer, envoyé en observation et sauvagement assailli, pour que les autorités municipales, après de nombreuses délibérations, prennent la décision de nettoyer ce coin de forêt où se sont rassemblés les félins :
    « Le gros chat état là, couché dans l’herbe flétrie de l’hiver. J’espérais qu’il était bien mort. Car un autre chat, celui de tout à l’heure, marron et gris, était penché sur lui, occupé à lui déchirer les entrailles. Il m’entendit, ou bien me vit, et releva la tête. Ses crocs étaient sanglants. Je le mis en joue. Il ne bougea pas. Je tirai. Sa tête vola en éclats. »
    Une battue sera organisée par tous les gens de bonne volonté dans le but d’éliminer définitivement le danger en tirant les chats au fusil ou en les repoussant à l’aide de gaz lacrymogène vers la rivière où ils se noieront. Lester pousse un soupir de soulagement : sa femme et lui pourront vivre en paix ! C’est en rentrant chez lui après cette dure journée qu’il aperçoit, sur le pas de la porte, un chat en train de se lécher…
    Un roman pour jeunes enfants dans lequel l’auteur envisage la révolte animale, certainement comme réponse aux vilenies des humains, et le danger que constitue la multiplication incontrôlée d’anciens animaux domestiques. Un petit récit sans grande surprise.


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