Sur l'auteur :
(1946-
Préambule :
la Planète des anges par Gabriel Jan, Fleuve Noir éd., 1980, coll. " Anticipation " N°972, 1 vol. broché, in-
1 ère parution : 1980
Synopsis :
" Dans la cité, les loups allaient s’entre-
Les responsables se trouvaient alors dans toutes les couches de la société, dans tous les partis politiques sans exception, étouffant sous des discours mielleux, sous des paroles trompeuses, sous des actes d’une effroyable bassesse, la bonne volonté de ceux qui voulaient construire. " (…) Des millions de gens trompés, truandés, souillés physiquement et moralement. Des millions de gens tombés dans le piège de la facilité, du confort, de la bourgeoisie… "
Gerst, un Ange, règne sur un groupe de " Protégés ", d’hommes et de femmes, telles que Weena. Les " Protégés " dépendent entièrement de lui pour survivre en profitant de la nourriture arrachée aux " Passifs " ou vieux, infirmes et impotents. Les victuailles se faisant de plus en plus rares, Nakil, un autre Ange, a l’idée de réunir sous sa férule les différents clans.
Gerst lui résiste et meurt. Weena, restée seule et enceinte de l’Ange, se décide à abandonner la cité pour aller la rencontre des mystérieux " Visiteurs " ou " Indépendants ", peu nombreux, qui regroupent les descendants des abris anti-
Nakil et ses Anges, lancés à la poursuite d’Eric, en feront l’amère expérience puisqu’ils seront exterminés par les insectes jusqu’au dernier. Les insectes ne résisteront pas longtemps à l’influence progressive des irradiations et disparaîtront à leur tour. Il appartient aux survivants, dont Weena et Eric, de relancer l’humanité.
Un récit gâché par des leçons de morale portant sur la déliquescence de la jeunesse et des politiques, de l’influence des militaires et de l’argent qui seraient à l’origine du grand chambardement : Qui trop embrasse…