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  • La Peur Geante

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    Fiche du livre :

    Type : livre

    Auteur : Stefan WUL

    Parution : 1957

    Thème : menaces climatiques, invasions extraterrestres


    Sur l'auteur :

    (1922-2003) Ecrivain français de science-fiction. De son vrai nom Pierre PAIRAULT. Dentiste de profession. Intéressé par la littérature. Vint à la SF par hasard et publia 11 romans au Fleuve Noir. qui marquèrent par la magie des décors et l'ambiance de merveilleux. Deux des ses récits furent adaptés au cinéma . Impression profonde sur les lecteurs.


    Préambule :

    la Peur géante par Stefan Wul, Denoël éd., 1994, 1 vol. broché 169 pp., coll. " Présence du futur ". (1ère parution dans la coll. «Anticipation», au Fleuve Noir). couverture illustrée par Jean-Yves Kervévan. roman d’expression française. notice bibliographique in " le Bulletin des Amateurs d’Anticipation Ancienne " N°33, 1 er  trim. 2004
    1ère parution: 1957
    menaces climatiques – invasions extraterrestres


    Synopsis :

    Le monde en 2157. Bruno Daix et son ami Pol Nazaire vivent en Utopie, c’est-à-dire en Afrance, partie asséchée de la Méditerranée. Dans le village planétaire, la science et la technologie ont rendu les hommes heureux, qui boivent des "Phoenix" glacés. Glacés, mais sans glaçons, car d’étranges propriétés frappent l’eau qui ne gèle plus.  
    Chargé par son patron de résoudre le mystère, Bruno n’en a pas le temps. Une catastrophe mondiale s’annonce, la fonte instantanée des banquises arctiques et antarctiques qui, en un raz-de-marée gigantesque, engloutissent la quasi-totalité des villes. L’humanité est à genoux. Seuls subsistent quelques centres souterrains, tels que la ville d’In-Salah en Afrance. Bruno, averti à temps, a échappé au raz-de-marée, en faisant la connaissance d’une charmante chinoise, Kou-Sien:
    " A cet instant, le ciel s’assombrit d’un seul coup. Détachant ses yeux du sol, Bruno vit tourbillonner les nuages au-dessus d’eux. Tous les appareils se mirent à tanguer. Le pilote se crispa sur les commandes. Un mur d’écume grisâtre boucha soudain l’horizon, une gigantesque falaise d’eaux furieuses avançait en bouillonnant dans la plaine. Bruno vit les piles colossales du pont Alger-Marseille renversées les unes après les autres. Un roulement de tonnerre s’amplifia, atteignit une intensité insupportable. (...)
    Une gifle géante claquait lourdement sur la ville, culbutant les buildings les uns sur les autres. Le valeureux hélico disparut sous les embruns. Déjà, dans les terres, le brutal déluge bouillonnait, envahissait la Mitidja, courait à l’assaut des contreforts de l’Atlas. Au nord, une deuxième falaise d’écume arrivait, chevauchant la première, puis une troisième. On devinait à peine l’ébauche d’une quatrième lorsque tout se brouilla. Il fut impossible de savoir où était la limite du ciel et des eaux. "

    Non seulement l’eau ne gèle plus, mais le cycle de l’évaporation s’arrête et, après l’inondation, la sécheresse  menace la Terre.  Tout ceci ne peut être le fruit du hasard. L’humanité est attaquée par les Torpèdes, des raies intelligentes qui veulent la destruction de l’homme, apparemment dérangées dans leurs occupations sous-marines.
    La lutte s’installe des deux côtés. Des bases sous-marines spécialement aménagées permettent à des nageurs avertis (dont Bruno et Pol) d’aller contaminer la nourriture des Torpèdes, rendant ceux-ci semblables à de vulgaires poissons à bouillabaisse.  Durant ce temps, Kou-Sien déchiffre le langage des Torpèdes qui communiquent entre eux à base d’impulsions magnétiques. Tout rentrera dans l’ordre mais le lecteur n’apprendra jamais comment l’eau, qui reprend ses anciennes propriétés, a  pu les perdre un temps donné.
    Un récit gentillet, bien écrit et fleuron de la collection "Anticipation" au Fleuve Noir des années 60.  Nullement ennuyeux, le récit, à l’intrigue linéaire,  n’approchera jamais du chef-d’oeuvre de Kapek "la guerre des Salamandres", brodant sur le même thème, ou du roman de Wyndham "le Péril vient de la mer ".


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