Synopsis :« Le gros morceau fut découvert dans le troisième bâtiment: un cyclotron et cent kilos d’uranium 235 récupérées sur les réveille-matin ainsi que dix litres d’eau lourde. Une bombe atomique d’un modèle réduit était en cours de fabrication. Cette bombe était destinée au Cap Carnavéral. La présence parmi les physiciens et ingénieurs de quatre agents exécutifs d’un pays situé derrière le rideau de fer prouvèrent que la mystique des « Frères de la paix » n’était pas si pure que Wasterman voulait bien l’affirmer. Les fichiers saisis permirent de situer toutes les agences des « F.P. » aux U.S.A. Six cent quarante Frères de la Paix purent être ainsi mis hors d’état de nuire. Tous les « accidents » mystérieux furent également expliqués. Les « projets » immédiats des Frères de la paix étaient les suivants : l’explosion en vol de vingt prototypes de chasseurs supersoniques, le sabotage de sept engins téléguidés de la base de Van Den Berg et l’assassinat de douze spécialistes de questions nucléaires. Wasterman venait de terminer le plan de ces « exécutions » au moment de son arrestation. »
L’extrait ci-dessus résume l’ensemble du contenu conjectural et cataclysmique de notre ouvrage. Le reste de l’intrigue n’étant qu’une course-poursuite menée conjointement par O’Shea et Roy qui remontent la piste des terroristes, lesquels utilisent des réveille-matin maquillés, aux aiguilles badigonnées d’uranium 235, moyen astucieux qui leur permettait de rassembler la quantité de minerai nécessaire à la fabrication d’une bombe A.
Un roman policier comme il y en eut tant dans les années soixante, égaré dans notre thématique.