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  • Le Silence De La Cite

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    Fiche du livre :

    Type : livre

    Auteur : Elisabeth VONARBURG

    Parution : 1981

    Thème : sociétés post-cataclysmiques 2


    Sur l'auteur :

    (1947-) romancière et nouvelliste de SF. Université de Dijon, études littéraires (critique littéraire et littérature comparée). Agrégée et enseignante. Vit au Canada depuis 1973. Chargée de cours à l'Université de Québec. S'implique dans la SF québécoise (Solaris) et dans la cause féministe. Traductrice. Anime des ateliers d'écriture. De nombreuses nouvelles , des recueils, des romans (SF, Fantasy). Son roman "Chroniques du Pays des Mères" est universellement reconnu. Grand Prix de la SF québécoise.


    Préambule :

    le Silence de la cité par Elisabeth Vonarburg, Denoël éd., 1981, coll. " Présence du futur " N°327, 1 vol. broché, in-12 ème , 283 pp. couverture illustrée par Stéphane Dumont. roman d’expression française (Canada)
    1 ère  parution : 1981
    sociétés post-cataclysmiques 2


    Synopsis :

    Une terre dévastée dont on ne connaît que peu de choses, une vision de ruines éparses et, au milieu d’elles, la Cité. Monde fermé, automatisé où quelques rares vieillards survivent, environnés de prothèses technologiques raffinées. La Cité est remplie d’ « Ommachs » (pour «Hommes -machines »), tellement sophistiqués qu’ils paraissent réels. Ils représentent, sous forme de programmes, les vieillards vivants ou morts. Efficaces et tout-puissants, au-delà des jeux de l’apparence, les Ommachs entretiennent la Cité.
    Au-dehors survivent des êtres humains primitifs, en tribus. Les catastrophes passées ont conduit à un déséquilibre génétique grave : il naît environ six fois plus de filles que de garçons. Paul, l’un des derniers Vivants de la Cité, envisage un programme de régénération de la terre, se servant du matériel génétique des femmes primitives dans le but de créer un être humain stable. Elisa, l’héroïne du roman, est cet être. Elevée par Paul (qui se fait appeler « Papa ») et Grand-Père (le scientifique « Desprats »), elle ne prend conscience que tardivement de sa nature.
    Petite fille, puis adolescente, enfin jeune femme, elle tombe amoureuse de Paul avant que d’être consciente de sa cruauté et de le désavouer. Elisa est spéciale. Grâce à son pool génétique si particulier, elle révèle des possibilités fantastiques comme celles de changer de sexe ou d’apparence à volonté. Plus tard, elle tuera Paul devenu sénile et, sur l’injonction de Desprats, quittera la Cité dont elle est désormais l’héritière pour aller à la rencontre des tribus.
    Sous la forme mâle de Hanse elle tombe amoureuse de Judith qui, des années plus tard, deviendra meneuse d’une révolte de femmes désireuses d’abolir le pouvoir patriarcal. Mais le déséquilibre homme/femme persiste. Elisa, réintégrant la Cité met au point à partir de ses propres cellules sexuelles un nouveau programme génétique. Elle produit plusieurs générations d’enfants, sortes de clones d’elles-même, destinés à essaimer à l’extérieur.
    En grandissant, les enfants s’opposent à une mère trop exigeante quoique adorée. Abram notamment, le premier-né, secoue le joug maternel et quitte la Cité sans autorisation. Sous sa forme féminine,  il se mêle à la population extérieure.D’autres enfin vont encore plus loin dans les jeux de métamorphose : pour certains, la possibilité leur est donnée d’adopter toutes les formes, y compris celles des animaux, ce qui bouleverse Elisa. Après bien des années, Elisa ressort définitivement de la Cité qu’elle inactive. Elle retrouve Judith vieillie et Abram dressés l’un contre l’autre en une lutte des sexes fratricide à laquelle elle compte mettre fin.
    « Le Silence de la Cité » est le premier ouvrage d’Elisabeth Vonarburg dans lequel se retrouvent déjà ses thèmes majeurs: conditions d’existence de la femme, combat féministe, décor post-cataclysmique. Non dénué d’intérêt mais touffu et parfois indigeste, le roman se lit comme un grand monologue intérieur axé autour de la complexe personnalité d’Elisa.


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