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  • Les Assassins De La Terre

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    Fiche du livre :

    Type : livre

    Auteur : A.E. VAN VOGT

    Parution : 1949

    Thème : menaces et guerres nucléaires


    Sur l'auteur :

    (1921-2000) Ecrivain canadien de SF. Chef de file de la science-fiction américaine. D'origine néérlandaise. Autodidacte. Lit énormément. Est convaincu de l'importance de l'inconscient dans la création littéraire. Ecrit pour les pulps (Astounding) Emigre aux Etats-Unis . Applique les thèses de la sémantique générale dans ses romans . S'intéresse à la dianétique.


    Préambule :

    les Assassins de la terre par A.E. Van Vogt , pp. 29 - 68, in " Après… la guerre atomique ", éd. Gérard, 1970, coll. " Bibliothèque Marabout " N°345, 1 vol. broché, in-12 ème , 302 pp. couverture illustrée.  nouvelle d’expression anglaise (USA),  repris également in " la dernière forteresse ", coll. " Le Masque SF " N°77, 1978
    1ère  parution : 1949   titre original : The earth Killers
    menaces et guerres nucléaires


    Synopsis :

    Le pilote d’essai Morlake, sur l’unique exemplaire d’un avion expérimental à vitesse foudroyante, le S29A, assiste à la chute de bombes atomiques sur les centres urbains des Etats-Unis. L’une d’elles le frôle dans sa descente et il put ainsi vérifier la trajectoire de celle-ci, qui lui parut verticale. Bien que sa base de Kane Field fût en grande partie détruite, il réussit à s’y poser pour faire part de ses observations au général Herrold tandis que de partout provenaient des nouvelles alarmantes :
    « Catastrophe à l’échelle d’un continent ! Quarante millions de morts dans cinquante grandes villes en moins d’une demi-heure. On devait apprendre par après que chacune des bombes avait dégagé une chaleur de quarante billions de degrés centigrades. Il était inutile de songer à lutter, où que ce fût, contre cette violence déchaînée. L’équilibre d’un hémisphère avait vacillé. Des tremblements de terrre ravagèrent des régions qui n’avaient jamais enregistré la moindre secousse. Pendant toute la soirée et toute la nuit, le sol trembla avec une violence inconnue dans l’histoire de l’humanité. »
    Morlake fut immédiatement arrêté, ses propos au sujet de bombes tombant verticalement, donc lancées à partir de la Lune, étant considérés comme des mensonges. Alors que ce qui restait de l’armée américaine se perdait en conjectures sur les responsables du bombardement, Morlake parvint à s’évader. Etant le seul apte à piloter le 29A que les militaires tenaient à tout prix à récupérer, il s’échappa et, se posant parfois sur des bases désaffectées pour refaire le plein, commença une longue quête pour prouver son innocence, sans que les militaires qui suivaient ses traces ne purent jamais le capturer. Le seul espoir du pilote était de convaincre le général Clarke avec l’aide du professeur Glidden, son ami, de la véracité de ses dires. Morlake avait la certitude que l’ennemi des Etats-Unis se terraient à l’intérieur de son pays :
    « Une réalité plus forte que la tuerie s’imposait à lui, c’était la certitude que des hommes, quelque part sur la surface de la terre, guettaient, avec des précautions diaboliques, les moindres signes d’une surveillance dont ils seraient l’objet. Ils n’hésiteraient pas, s’ils étaient découverts, à sacrifier le reste de la terre pour se sauver eux-mêmes. Leurs chefs réfuteraient toutes les accusations, parleraient de conspiration et, grâce à l’arme terrible qu’était le contrôle de la Lune, pourraient bombarder n’importe quel endroit de la terre. »
    Ses soupçons se portent sur le sénateur Tormey qui assumait la présidence en ces temps troublés. Avec l’aide de Clarke, qu’ils avait réussi à convaincre, un piège fut tendu à Tormey, lequel se démasqua avec ses complices, tous Américains extrémistes et racistes ayant utilisé des fusées désaffectées pour bombarder leur pays. Tormey mourut d’une balle bien placée, un vaste coup de filet réduisit les extrémistes, Morlake fut réhabilité et le pays pansa ses plaies radioactives.
    Une nouvelle confuse de Van Vogt qui a au moins le mérite d’innover en la matière. Délaissant la sempiternelle rivalité USA-URSS, il avança en science-fiction l’hypothèse de «l’ennemi de l’intérieur » dans le cadre d’un conflit nucléaire.


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