Sur l'auteur :
(1802-
Préambule :
la Ville disparue (extraits), poésie par Victor Hugo, in "la Terre est bleue comme une orange ", pp. 118/119, chapitre 8 : " Cataclysmes et catastrophes ", éd. Ouvrières, 1986, coll. " Enfance Heureuse ", anthologie poétique rassemblée par Pierre Ferran, 1 vol. broché, in-
menaces climatiques
Synopsis :
" Mais un jour l’océan se mit à remuer ;
Doucement, sans courroux, du côté de la ville
Il rongea les rochers et les dunes, tranquille,
Sans tumulte, sans chocs, sans efforts haletants,
Comme un grave ouvrier qui sait qu’il a le temps ;
Et lentement, ainsi qu’un mineur solitaire,
L’eau jamais immobile avançait sur la terre (…)
Et tout s’évanouit ; rien ne resta que l’onde.
Maintenant on ne voit au loin que l’eau profonde
Par les vents remuée et seule sous les cieux.
Tel est l’ébranlement des flots mystérieux. "