Sur l'auteur :
(1917-
Préambule :
Expédition de secours par Arthur C. Clarke, pp. 11-
1 ère parution : 1956 titre original : Reach for tomorrow
fins du monde, fins de l’humanité
Synopsis :
Un groupe d’extraterrestres, aussi divers physiquement et mentalement que puissants technologiquement, ont une mission précise : assister à l’explosion d’une nova en ce bras écarté de la galaxie, explosion qui anéantira toutes les planètes de ce système y compris, et surtout, la troisième, où ont été découverts récemment les signes d’une civilisation. Pour cela, ils ont un délai d’une heure, délai largement suffisant pour leur permettre de recueillir et d’accueillir à bord de leur vaisseau quelques centaines de survivants.
Arrivés sur les lieux, Alveron, le capitaine du vaisseau L. 9000 préconise deux groupes d’intervention, en deux directions différentes : celui de Torkalee et celui d’Alarkane. Des preuves indéniables d’occupation récente seront rapidement établies, mais la ville est vide de ses habitants. Partout, des émetteurs alignés selon une direction précise semblent encore en fonctionnement. Le groupe de Torkalee se fait piéger dans un métro souterrain qui l’entraîne vers d’autres centres urbains, eux aussi désaffectés. L’appareillage est automatique et le temps presse pour Alveron. Aussi, faut-
"A leurs pieds, le continent sombrait doucement sous les vagues, hautes d’un kilomètre, qui montaient à l’assaut des côtes. Le dernier spectacle que devait offrir la Terre était celui d’une grande plaine baignée par la lumière argentée d’une lune extraordinairement brillante. Inondant sa face, des masses d’eau déferlaient, flot scintillant sur une chaîne de montagne lointaine. La mer avait remporté sa victoire finale, mais son triomphe serait de courte durée car, bientôt, ni la mer ni la terre n’existeraient plus. A l’instant même, où, dans la salle de contrôle, le groupe silencieux observait la destruction qui s’opérait sous eux, la catastrophe infiniment plus grande, dont celle-
C’était comme si l’aurore se fût brusquement levée sur ce paysage de clair de lune. Mais ce n’était pas l’aurore : ce n’était que la lune elle-
Une nouvelle nous entraînant jusqu’à l’extrême limite de la possibilité de vie sur une terre condamnée, et pourtant remplie d’optimisme quant à l’avenir de la race humaine.