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Les romans post-apo.


Armée des ombres

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=== > Shinji Shinoda :Je n’ai pas lu le Faucheur. Mais ça à l’air sympa. Par contre j’ai lu il y à pas mal d’années la vérité avant dernière, et j’avais bien aimé.=> Héréticus :Terre sauvage c'est sympa à lire. Écriture efficace et sans fioriture. Tu as raison Héreticus, en film cela serait pas mal. Mais malheureusement la mode en France actuellement n'est pas à ce genre de film.D’ailleurs l’histoire que je suis en train d’écrire sur mon blog, reprend un peu le thème de tous ces livres post-apo.:smile:

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Je conseil très fortement " un horizon de cendres "très bon ouvrage un peu court a mon sens, mais il bénéficie d'une belle écriture qui n'est pas pompeuse et surtout un humour noir énorme qui m'a fait penser a tous ces bons moments dans fallout.Il se trouve dans les points de ventes habituelles et est très récent.je ne peux hélas pas dire grand chose sur le synopsis car le livre se déguste d'une seule traite.

Il a ouvert la porte
je lui ai ouvert la tête

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  • 1 mois après...

Je conseil vivement "Farheneit 451" de Ray Bradbury.Ecrit dans les années 50 (en pleine guerre froide, et alors que l'URSS vient de fabriquer ses premières bombes A), ce livre brosse un portrait d'une société humaine ultra-décadente, jusqu'à sa destruction par une guerre nucléaire. Ce n'est pas vraiment post-apo, mais ça donne une idée de ce que pouvait-être l'univers de Fallout avant le conflit.Captivant!![ATTACH]930[/ATTACH]

Promotion de ouf sur les grenades: 2 pour le prix d'une!
Et pour la somme modique et dérisoire de 500 caps, nous vous fournissons les goupilles!

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  • 11 mois après...

Je profite de ce thread pour faire la promo d'un ami qui en plus est un passionné des futurs post-apocalyptiques...

[ATTACH]1710[/ATTACH]

Site de l'auteur : http://www.zarno.fr

Extrait :

« Il déglutit bruyamment, manquant de peu une violente excrétion.

— Non monsieur. Pas depuis hier. Nous faisons le maximum, mais je crains que…
— Votre travail est insuffisant. Votre enfant pourrait éponger les fruits de votre incompétence. Elle est devenue très belle avec le temps. Du fond de sa cellule, son jeune métabolisme a fait d’elle une femelle féconde. Vous savez, votre fille a le même âge que le sujet Jill Wakenight. Nous avons décidé de vous mettre au défi. Le Lex Bactéria vous fera vous vider de votre sang dans soixante jours. Vous jouissez donc de deux mois pour que le fruit de vos entrailles apprenne votre existence. Sans quoi…


Ross fut pris de convulsions anxieuses. Ses dents claquaient en même temps que ses pieds par terre. Un mince filet de sang s’écoulait de son nez et tombait au goutte à goutte sur ses notes.

— Mon existence… Comment… Vous n’avez tout de même pas osé…

Le second écran afficha une modélisation de la fille de Ross en trois dimensions.

— Elle vous croit mort. Son psychisme s’en serait trouvé altéré si elle avait nourrit l’espoir de vous revoir. Notre contrevérité est chirurgicale. Sa blessure est nette et propre. Son statut d’orpheline lui évite nombre de névroses structurelles.

Il ne dit rien. Abattu. Terrassé par l’intransigeance de son interlocuteur. Il détourna enfin les yeux de la photographie jaunie pour écourter l’entretient au plus vite.

— Alors, cette nouvelle phase…?
— Le Gouvernement Mondial va prochainement rentrer dans sa phase terminale. En effet, en quelques décennies nous avons mis fin à l’anarchique reproduction dont souffre l’espèce humaine. Les citoyens, aidés par nos lois justes et immuables, ont bien travaillé. Pourtant l’espèce humaine en l’état actuel de son évolution a été jugée en incompatibilité avec un équilibre de vie durable.
— Je ne suis pas sûr de comprendre vos ambitions. Vous n’allez quand même pas nous plonger dans un hiver nucléaire, dit Ross intrigué.

La voix répondit au terme d’un silence interminable.

— Votre sottise vous perdra Ross. Les bombes nucléaires sont des armes primitives, symbole de l’ambition infantile d’une sous-espèce. Une apocalypse nucléaire détruirait toute vie, ainsi qu’une bonne partie de l’écosystème, sans parler des retombées radioactives qui nous condamneraient à vivre terrés comme des rats durant des décennies. Non Ross, aucun besoin de détruire la société humaine : nous la façonnons déjà à notre gré.
— Je ne comprends pas, dit-il dépassé.
— Nos superviseurs et leurs équipes ont mis au point un nouveau genre d’êtres, dociles, puissants, parfaits. Deux nouvelles castes complémentaires seront mises en place. Un néo-esclavagisme du sud au service des orgies du nord. Voyez-vous, Ross, l’œuvre créatrice de Dieu est obsolète. NOUS sommes Dieu.

Ses ongles crissaient lentement sur la table laquée.

— Rendez-moi ma fille, gémit-il excédé.
— Trouvez et abattez Jill Wakenight. Bonne journée Ross. Le prochain contact vous sera ordonné par courrier.

Gouvernance Mondiale. Globalité, travail, sécurité.

L’écran cessa d’émettre et replongea l’Administrateur dans la pénombre. Il se laissa retomber sur le dossier de la chaise. Sa vie repassait devant ses yeux comme s’il allait mourir dans l’instant. À l’image de nombre d’anciens militaires, il était nostalgique de la guerre, seul réel plaisir de son existence. Les êtres humains transpiraient ce paradoxe de produire de grandes diatribes contre l’atrocité guerrière et sanglante, sans pour autant pouvoir s’empêcher de s’y adonner. Pour Ross, faire la guerre était un mécanisme psychologique passionnel savoureux dont il ne s’était jamais lassé. Posséder l’autre, de gré ou de force, conquérir parfois, tuer toujours, était une vocation qu’il partageait avec beaucoup de ses alter ego.
La paix ne l’amusait que très peu, si bien qu’il s’était offert quelques petites guérillas personnelles au cours de sa carrière d’Administrateur. D’abord les homosexuels, les obèses, les trop ambitieux qui lui faisaient de l’ombre, et puis les résistants. En définitive tout n’était que prétextes.

On cherche souvent l’argumentaire à un crime après l’avoir commis. Peu assument la totalité de la démarche en revendiquant l’idéologie guerrière. Il évoluait maintenant dans les hautes sphères de ce monde qu’il trouvait irréel et vain, trouvant d’ailleurs que la paix avait des airs de guerre froide, concurrentielle, égoïste et mercantile, avilissante et lancinante. Plus encore, l’éthique du mal s’arc-boute sur la passion irrépressible et la pulsion identitaire profonde, éthique à côté de laquelle la morale du bien fait figure de simulacre ingrat.

Le gouvernement mondial en avait apporté sa dose avec la soumission des récalcitrants, les limites de vie. Le régime intégral avait proposé une recréation ethnique suite aux crises systémiques. Économiquement, la réduction de l’effectif planétaire humain avait permis d’endiguer l’épuisement des ressources, les charges inhérentes à la surcommunauté, et surtout : s’approprier les possessions et le travail de tous.
La religion du bien et la théologie humaniste condescendante étaient mortes en même temps que ceux qui les portaient : des histrions opportunistes en quête d’autocratie. Autant de méthodes que d’hommes, pour un but unique. Pas d’étoile jaune, pas de ruban, pas de ghettos : un génocide universel, compilation totalitaire d’épisodes méphistophéliques. Ross aimait cette violence par dessus tout. Viscéralement. Et comme pour tout amour passionnel qui se respecte, il en était prisonnier.
Il fuma beaucoup ce jour là. L’âge lui avait appris à faire usage de son cerveau même s’il préférait de loin les forces physiques irréfléchies comme laisser un vagabond éviscéré dans une ruelle ou se décharger dans une putain. La fumée de cigare aiguisait sa réflexion comme on affûte une lame émoussée. Il haïssait sa fille par moment, cet insignifiant accident de sève gluante qui l’avait mis dans cette situation insupportable. Mais il l’aimait, la haïssait, l’adorait à nouveau pour la maudire encore. Elle était la seule à qui il avait tenu un jour et se méprisait de ne pouvoir chasser durablement ce sentiment d’arrachement qu’il ressentait. »

[...]

♣♣♣

«

— Les êtres humains sont des porcs. Qu’on racle leurs carcasses en boucherie ! C’est leur place.

Phil était revenu vers elle. Il posa délicatement la main sur son épaule, la regardant dans les yeux, presque paternel.

— Tu es surdouée pour te battre. Mais tu as encore tant de choses à apprendre sur la vie. Quand j’étais enfant, nous allions passer nos vacances à la ferme des mes grands-parents, dans le Minnesota. Les cochons sont des animaux très intelligents, gentils et d’une fidélité à toute épreuve. Je n’en ai jamais vu un abattre ses semblables de sang froid, ni même chercher à posséder plus qu’il n’a besoin pour vivre. Les êtres humains sont bien pires que les porcs, Jill. Mais il peuvent aussi avoir de bons côtés. Si un jour tu as des enfants, auras-tu le cran de leur dire que tu savais, et que tu n’as rien fait, rien essayé de faire ?

Elle avait un regard dont elle seule possédait le secret. Même Phil eut peur. Il se surprit à reculer d’un demi-pas. Le poing de la jeune femme broyait la crosse de son Colt Delta. Mais elle le laissa rangé dans son étui.

— Qu’ils crèvent tous, dit-elle haineuse.

[...]

— Il a bon dos l’instinct ! Pour la peine je goûterais bien de la chair humaine un de ces jours.
— Riche idée, petite sotte ! Tu crois sans doute que cela te rendra plus intelligente ? Tu ne feras que ressembler davantage à ceux que nous combattons ! Et puis tu ne meurs pas de faim…

Elle prit son air de chien battu.

— Oh allez Phil…! Imagine une merdeuse de début de siècle, le genre niaise qui parle d’âme sœur dès que ses hormones lui disent qu’un spécimen est baisable. Franchement à part finir dans une assiette, je vois aucune utilité à des gens comme ça.
— Pourquoi une telle haine des comportements passés ? Dit-il intrigué.
— Parce que c’est à cause d’eux que le monde est dans cet état. Égoïstes, mercantiles, idéologues idiots et répugnants. Ce sont ces générations là qui n’ont rien fait, qui ont laissé faire, les quarantenaires de l’an deux mille. Passifs comme des veaux sous somnifères, bons à crever devant la télévision et à consommer des choses dont ils n’ont pas besoin. T’as raison Phil : bien pire que des porcs. »

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Toujours pas de réponse qui concerne le bouquin La route ( The Road ) de Cormac McCarthy.

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Très bon livre je l'ai dévorer :) sa change de la facilitée à survivre de Fallout ^^

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Salut
Désolé, mais je n'ai ni lu, ni vu le film.

Par contre j'ai lu ça récemment :
Route 666 de Roger Zelazny (1969) Titre original : Damnation Alley

Quatrième de couverture : Hell Tannel est un enfoiré de première, un Hell's Angel qui n'a jamais eu le moindre respect pour la vie humaine, la loi et l'ordre. Mais dans un monde broyé par les épidémies, où des rocs tombent du ciel, où les chauves-souris sont de la taille d'un Boeing et le compteur Geiger dans le rouge, Tanner est la dernière chance de la ville de Boston. À la tête d'un convoi de véhicules blindés, équipés de roquettes et autres canons, il va devoir traverser le pays, de la Californie à la Nouvelle-Angleterre, en suivant la route 666, la route de l'enfer sur terre.

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Par contre j'ai lu ça récemment :
Route 666 de Roger Zelazny (1969) Titre original : Damnation Alley


J'avais lu un truc de Zelazny y a longtemps, post apo aussi, je crois que c'était Deus Irae avec plein de mutants difformes, un monde bien destroy.

Je ne lis plus vraiment ce genre de littérature (bien que j'en ai lu des grosses piles à une époque), mais en voilà deux qui m'ont marqué plus que les autres avec un rapport au post-apo:

La Parabole du Semeur:
Voilà un gros bouquin en deux parties qui m'a énorment marqué il y a quelques années, distrayant mais avec beaucoup de choses qui font réfléchir (d'Elizabeth Octavia Butler, Au Diable Vauvert), à lire sans modération:

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LIVRE 1 - LA PARABOLE DU SEMEUR : Californie, 2025. Exclusion, misère, violence atteignent des proportions inégalées. À quinze ans, Lauren, fille d'un pasteur noir, est jetée sur les routes après le massacre de sa famille. Dans ce monde détruit, elle trace son chemin à travers le chaos, semant une parole d'espoir et de paix pour les déshérités, et plaidant pour une humanité nouvelle.

Violence et humanité, aliénation et transcendance, asservissement et liberté, séparation et communauté, antiracisme... Magnifiques variations sur les grands thèmes butleriens, mais aussi inoubliables romans de résistance, La Parabole du semeur et sa suite, La Parabole des talents (Éditions Au diable vauvert), prennent, en ce début de millénaire, des accents d'une actualité brûlante.

LIVRE 2 - LA PARABOLE DES TALENTS : Californie, 2032. Dans un pays au comble du chaos, les milices font régner leur loi, les usines ont recours au travail forcé, l’Amérique renoue avec l'esclavage, la ségrégation. raciale, et sombre dans l'intégrisme religieux... Asha, créatrice de jeux virtuels, arracha enfant à sa communauté, découvre Semence de la Terre, le journal où Lauren, sa mère, raconte son oeuvre de résistance humaniste et pacifiste.


Black Flag de Valerio Evangelisti:

Sur Paradi, les psychiatres tentent de soigner la schizophrénie qui a envahi le monde par des électrochocs collectifs - les malades étant devenus trop nombreux - et les rapports humains n’existent que dans la violence. Parmi ses misérables habitants se trouve Lilith, qui hait tout le monde, et que tout le monde hait. Une mission de contrôle arrive de la lune, sans se douter qu’un seul de ses membres repartira vivant, grâce à l’aide de Lilith. Mais quelle est donc la véritable identité de celle-ci ?

À Laredo, Pantera, pistolero messianique aux allures de Clint Eastwood, est engagé pour tuer Koger, un étrange homme-loup. Lorsque ses commanditaires se retournent contre lui, Pantera se retrouve embrigadé malgré lui sous le drapeau noir d’une unité de rebelles sudistes adeptes de la violence sous toutes ses formes. Il y prendra sous sa protection un vieil Indien radoteur et une prostituée particulièrement laide. Ce n’est qu’au terme d’une longue errance avec les rebelles qu’il découvrira la vraie nature de Koger…


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Mon avis: Un bouquin que j'ai trouvé très dur avec des scènes très violentes (physiquement ou moralement), en fait cela à modifié ma perception de l'humain :yikes: . Pour le contexte post apo, la partie Paradi (la terre dans le futur) est assez terrifiante avec un aboutissement possible de la psychiatrisation extrème de la société (mais qui n'est que la cause visible), un monde totalement déshumanisé qui sombre dans la folie.



Sinon, j'ai lu Les Derniers Hommes de Bordage dont parle le premier post (acheté à une séance de dédicaces il y 11 ans déjà :grin: ), un très bon bouquin dans le genre, une terre en train de crever pour de bon, un fléau mystérieux qui semblent vouloir s'acharner sur ce qui reste de l'humanité et le récit de ces survivants.


EDIT: J'ai lu Ravage au collège lol, c'est un livre étudié par les adolescents, ce qui explique peut-être la couverture "enfantine" :angry: (mais un classique aussi :grin:)

Et j'ai vu La Route en film, bon sang que c'est déprimant, mais du très bon jeu d'acteur, on suit de bout en bout de périple de fin de temps au mileu de cette terre d'où l'espoir à disparue.
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  • 3 mois après...

Merci pour toute vos idées de livre post-apo x).

Perso j'ai lu La Tour Sombre de Stephen King ( sa me fait un peu pensé à fallout je dois avouer... x) ) Ou sinon Brume du même auteur ( vraiment plus post-apo celui-la... x) )


Petit résumé de Brume :

Une brume opaque ce répand à grande vitesse. Personne ne ce doute du dangers qu'elle représente... Comment survivre dans un super marché alors que dehors des prédateurs plus horrible que monstrueux nous attendent?


Pour plus d'info, Brume est une nouvelle. Elle est inclut dans un livre qui possède plusieurs nouvelles. Le nom du livre est Brume x)

Partout ou je passe, il y a toujours un tas de cadavres fumants... Allez savoir pourquoi :angry:

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Brume n'a rien à voir avec le sujet. Quant à la Tour Sombre, ce n'est pas l'histoire d'un monde post-apo, mais peut-être l'histoire d'un monde en décomposition. Seuls les restes des machines de Sombra Corporations, de LaMerck (Lemark :P) et North Central Positronics peuvent rappeler un monde post-apo, mais la correspondance s'arrête là à mon avis.

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Brume n'a rien à voir avec le sujet.




Tout est relatif il me semble. On peut voir un coter post-apo dans le fait que le monde sombre en quelque sorte d'en un cauchemar ambiant avec des monstres. On peut avoir diverses impressions d'un même livre ;). Pour ma part je trouve que Brume à un coter post-apo quand même x).

Partout ou je passe, il y a toujours un tas de cadavres fumants... Allez savoir pourquoi :angry:

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Brume... J'arrive pas à voir ce qu'il y a de post apo là dedans, on a pas réellement à faire à un monde en péril... Pour moi ça reste dans le fantastique pur et dur. Il ne faut pas se baser sur la fin du film qu'ils en ont tiré, celle du bouquin est differente... Le fléau dont on a parlé plus haut, lui ouais à 100%, vraiment la classe ce bouquin! Des cadavres, des ruines, des esclavagistes...

[sIGPIC][/sIGPIC] "I don't have to prove anything to you! Prove."

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  • 1 mois après...

Je viens de finir La Route de Cormac McCarthy, un livre fabuleux, j'ai pris une bonne dose d'imagination (malgré le manque de virgules remplacé par des "et" mais on s'y fait finalement). La description de l'environement est une merveille !

Je vais tester de trouver le film pour voir si il y a du niveau par rapport au bouquin.

Sinon, je pense que je vais essayer de me procurer "La Terre Sauvage" qui m'a l'air d'être bien sympa.

[center] _ ________,      [b]THE CAJUNS[/b]      ,________ _

 >`(==(----'                        '----)==)`<

(__/~~`              .-"""-.             `~~__)

 / _   _ 

 ](_' `_)[

 `-. N ,-'

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 `---'[/center]


MuZiK ? - La Bombe

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  • 1 mois après...

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1984 est un roman d'anticipation écrit par George Orwell.

Quatrième de couverture :

"De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. Il y en avait un sur le mur d'en face. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis partit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seul comptait la Police de la Pensée."
George Orwell dépeint dans le prophétique 1984 un terrifiant monde totalitaire.


Résumé du roman sans spolier tirer de la page wiki :

Winston Smith, habitant de Londres en Océania, est un employé du Parti Extérieur, c'est-à-dire un membre de la « caste » intermédiaire du régime océanien : l'Angsoc (mot novlangue pour « Socialisme Anglais »). Winston officie au Ministère de la Vérité, ou Miniver en novlangue. Son travail consiste à remanier les archives historiques afin de faire correspondre le passé à la version officielle du Parti. Ainsi, si l'Océania déclare la guerre à l'Estasia alors que deux jours avant elle était en paix avec cet État, les autres membres du Ministère de la Vérité, et notamment ceux du commissariat des archives (« Commarch » en novlangue), où travaille Winston, devront s'assurer que plus aucune trace écrite n'existe de l'ancienne alliance avec Estasia.

Toutefois, contrairement à la majeure partie de la population, Winston ne réussit pas à pratiquer cette amnésie sélective et ne peut donc adhérer aux mensonges du parti. Il prend alors conscience qu'il n'a pas de pensées aussi orthodoxes qu’il devrait en avoir aux yeux du Parti. Susceptible d'être traqué par la Police de la Pensée, une redoutable organisation de répression, il dissimule ses opinions contestaires aux yeux de ses collègues de travail. Le roman s'ouvre sur les projets d'écriture de Winston ; il désire en effet garder une trace écrite et donc fixe du passé, en opposition à la propagande de l'Océania. La ténuité des possibilités de rébellion apparaît rapidement ; la simple rédaction de son journal n'est possible à Winston que grâce à une singularité dans le plan de son appartement qui permet d'échapper au regard omniprésent du télécran.

Winston Smith servira également de prétexte dans la suite du roman pour exposer la société totalitaire qui l'entoure, les hommes qui y collaborent et ses ressorts les plus impitoyables. On verra ainsi exposé au fur et à mesure de ses rencontres la négation de l'amour et de la sensualité par l'ensemble de la société - avec l'exemple notable de l'ex-femme de Winston - ou encore une présentation de la destruction de la langue par un des artisans enthousiastes de cette entreprise. La délation dans la famille et même le refoulement généralisé des membres les plus dévoués à la société qui finissent par prononcer dans leur sommeil ce qu'ils n'osent prononcer de jour seront abordés le long du roman.

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  • 2 semaines après...

Magnifique présentation pour un livre d'une qualité rare, j'ai franchement tellement aimé ce bouquin que je le relis souvent. Je me rappelle qu'avec des potes on avait commencé à inventer des mots et parler en novlangue mais j'imagine que pas mal de gens ont fait ça aussi non ?

pour me contacter: [email protected] -> [email protected]

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Salut
1984, avec Demain les chiens est mon livre de SF préféré. L'histoire est tout simplement effroyable.
L'aliénation de l'humain, vaste sujet, malheureusement déjà en marche...

Si tu aimes les histoires réelles, pardon... de science fiction sur le même thème, je te conseil ce livre :

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  • 1 mois après...

est-ce que quelqu'un connait la série de livres Hunger games de Suzanne Collins ? Ce sont des livres pour les ados à priori, mon fils de 9 ans qui lit depuis très longtemps a eu très peur en lisant le 1er tome, et je me demandais si quelqu'un ici les avait lus et ce qu'il en pensait, si ça correspondait à son âge (je n'arrive pas à trouver sur le net pour quel âge ils sont destinés) j'ai tout de même trouvé ça : Intrigue : Peeta et Katniss sont tirés au sort pour participer aux Jeux de la Faim. La règle est simple : 24 candidats pour un seul survivant, le tout sous le feu des caméras ? Dans chaque district de Panem une société reconstruite sur les ruines des États-Unis deux adolescents sont choisis pour participer au Jeu de la Faim. La règle est simple : tuer ou se faire tuer. Celui qui remporte l épreuve, le dernier survivant, assure la prospérité à son district pendant un an. Katniss et Peeta sont les « élus » du district numéro douze. Les voilà catapultés dans un décor violent, semé de pièges, où la nourriture est rationnée et, en plus, ils doivent remporter les votes de ceux qui les observent derrière leur télé... Alors que les candidats tombent comme des mouches, que les alliances se font et se défont, Peeta déclare sa flamme pour Katniss à l antenne. La jeune fille avoue elle-aussi son amour. Calcul ? Idylle qui se conclura par la mort d un des amants ? Un suicide ? Tout est possible, et surtout tout est faussé au sein du Jeu de la Faim... J'aimerai avoir l'avis d'un lecteur !:)

Face à la pression des cons, la décompression...
Le bunker de jello44

 

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Bonjour à tous,

Une fois n'est pas coutume, je voudrais vous faire
découvrir un bouquin post apo que j'ai lu il y a bien longtemps.

Il s'agit des "Visages du Chaos" d'Andrew J Offutt publié en 1974
(Castle Keeps aux USA).

Voici deux couvertures correspondant à deux éditions différentes :

la deuxième est particulièrement sombre et perturbante (attention pour
les plus jeunes), c'est pourtant une couverture que l'on pouvait trouver
en magasin (!).

la 1ere :
http://img560.imageshack.us/img560/7752/galb0035.th.jpg

la 2eme :

http://img214.imageshack.us/img214/8086/galbis0351978.th.jpg

Je vous mets également le quatrième de couverture en anglais et l'avis d'un internaute sur amazon.com (pas trouvé en français).


Earth was in chaos -- could civilization ever return to the planet of terror? The Andrews' hilltop home has become a fortified castle. Jeff Andrews has only the ancient weapons to protect his isolated family from the ravages of roving bands of 'rippers'. The Caudills in the city seem more secure in the protection of their sealed-up apartment building. But they too are gripped by terror, struggling against the hardships of their artificial environment and the dangers that lurk outside.

A straight forward post-apocalyptic tale of good (hyperviolent) people struggling against lawless masses.

Society has broken down, a rural family subsist on their well defended hilltop, ringed with electric fences and guarded by machine guns.
Bored with rural life, the son leaves to explore the lawless city. He is the archetypal gunslinger, cool, emotionless and never missing.

This tale does not comment on the post-apocalyptic world, other than that a fellow should be first to shoot and shoot to kill. More of an fun adventure story than sweeping post-apocalyptic tale like The Road, Malevil or Alas Babylon.

Le slogan du quatrième de couverture m'avait spécialement marqué :

Les armes à la main
Au seuil de la fin
A l'heure du chacun pour soi.

Avis perso : j'ai lu ce bouquin il y bien bien longtemps (une 20aine d'année)
et je l'ai perdu depuis... mais je garde en mémoire une histoire sombre, violente
et désespérée (ça ne vous rappelle rien ;)?) plutôt orientée sur l'action et la
survie (la protection d'une famille).
je ne saurais vous en dire plus (alzheimer tout ça ^^) mais si vous trouvez ce livre dans une bouquinerie,
donnez lui sa chance !

Pour en savoir plus sur l'auteur :

http://en.wikipedia.org/wiki/Andrew_J._Offutt

--
Aguirre

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  • 4 semaines après...

Bien l'bonjour tout le monde !

Aujourd'hui, nouvelle fournée de livres pour ma bibliothèque.

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Hé oui, avant d'être un jeu vidéo, Métro 2033 est un roman du russe Dmitry Glukhovsky parut aux éditions de l'Atalante.

Voici la 4ème de couv.

2033. Une guerre a décimé la planète. La surface, inhabitable, est désormais livrée à des monstruosités mutantes. Moscou est une ville abandonnée. Les survi*vants se sont réfugiés dans les profondeurs du métropolitain, où ils ont tant bien que mal organisé des microsociétés de la pénurie.Dans ce monde réduit à des stations en déliquescence reliées par des tunnels où rôdent les dangers les plus insolites, le jeune Artyom entreprend une mission qui pourrait le conduire à sauver les derniers hommes d’une menace obscure… mais aussi à se découvrir lui-même à travers les rencontres improbables qui l’attendent.


Ensuite sur un ton plus léger :

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Bon là, il n'y a pas photo. Si une goule de Fallout venait à s'échapper du monde virtuel, vous savez quoi faire ^^.

Pour finir, dans une semaine je devrais recevoir Deus Irae de Philip K Dick.
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Le résumer trouvé sur Wikipédia :

Carleton Lufteufel, responsable de l'apocalypse nucléaire qui a ravagé la Terre, est vénéré par les adeptes de l'Église de la colère. Mais l'absence d'image représentant Carleton est un frein au développement de cette nouvelle religion. Tibor MacMasters, peintre handicapé n'ayant ni bras ni jambes, est alors être chargé de retrouver Carleton Lufteufel afin d'en réaliser le portrait.

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Le guide de survie en territoire zombie, ça ce "lit" après World War Z, que je suis justement en train de lire. Et pour le moment, je trouve ça excellent.

J'aime beaucoup le principe de témoignages après le fléau. Et pis bravo a l'auteur qui arrive à imaginer des façons différentes de raconter chaque témoignages (ben oui, parce que ce sont des personnes différentes).

On ne se contente pas de suivre un seul pays, le fléau fut mondiale, beaucoup de références culturelles, géopolitiques, idéologiques, l'auteur semble bien cerner la nature humaine aussi, etc... J'ai pas encore fini, mais c'est pour le moment vraiment vraiment très réussi je trouve.

Le monde a été infesté de zombies, mais bravo, vous avez survécu. Après le carnage, un employé de l’ONU parcourt le monde en ruines. Mène l’enquête, et pose un regard social et politique sur l'apocalypse et ses survivants. La suite du Guide de survie, pour les voraces de fantastique.


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Puisqu'il n'a pas été cité : "la profondeur des tombes" est un roman français, cocorico, sombre, très sombre ; voir déprimant. Dans un futur proche les dernières réserves de pétrole ont été épuisées et l'humanité s'est tournée vers les ressources en charbon, nettement plus polluantes, avec, à la clef, nuages de poussières, pluies acides, occultation du soleil et cette suie qui s'insinue partout, sur les corps, dans l'eau, dans les poumons et qui ronge le corps et rend dingue. http://www.culture-sf.com/La-profondeur-des-tombes-Thierry-Di-Rollo-cf-490

« Qui sommes-nous pour vivre dans le noir ? Qui viendra fermer nos yeux, à l'heure de notre dernière
nuit ? » Personne. Il n'y aura plus personne.

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Personnellement , je viens de finir "Une seconde après" , de William R. Forstchen

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Le scénar' en quelque mots :
Plusieurs bombes nucléaires on exploser a hautes altitude au dessus des États-Unis . L'effet IEM on replonger les E-U au moyenne age : Plus de voiture , plus d'électricité , plus de communication .
Pendant ce temps la , John , a Black Mountain tente de faire survivre la communauté ..."

J'ai adorer personnellement !

oui.

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