Aller au contenu

Omen MMORPG post-Apocalyptique amateur


DevilToTracks

Messages recommandés

Voici donc mon projet de MMORPG post-apocalyptique.

Histoire

Prenons un peu d’altitude et observons notre Terre, assis sur un nuage, comme des enfants silencieux contemplant une ruche. Que voyons-nous ? Des villes tentaculaires, des marées humaines déferlant dans les rues, des pays industrialisés lancés dans une course éperdue vers le progrès, la technologie, le chimique, le virtuel… Un monde recouvert de métal, de toxiques, de machines. Un monde où l’homme grouille, triomphant, hissé au sommet de la chaîne alimentaire par la force de ses inventions. Un monde où la nature souffre, épuisée, agressée par les déchets polluants, vidée de ses dernières ressources.
Continuons notre route, survolons ces cités à la chlorophylle synthétique et aux arbres malades, descendons en planant vers ces tunnels souterrains où les hommes s’entassent, guidés par les phéromones de la sainte reine Travail… Une gigantesque fourmilière, nourrie de concepts et d’idéaux fébriles, où les ouvrières s’activent sans la moindre unité pour forger les outils de la destruction…
Combien d’hommes ont conscience, aujourd’hui, d’être des parasites ?
« Nous étions le fléau, nous étions le cancer, les enfants ennemis sur le corps de la Terre… »
Les prémisses de la fièvre…
Comme un organisme dont les défenses s’activent, pour faire front contre une menace virale, la Terre se met à réagir, instinctivement, naturellement, à la présence de l’homme technologique sur son corps. Les premiers soubresauts prennent la forme de fléaux naturels, tout d’abord isolés, puis très vite plus nombreux, plus violents, plus réguliers. Le climat se dérègle, les saisons se confondent et partout, les hommes assistent aux soubresauts d’une nature qui semble devenue folle. L’Homme, simples témoin des remous de surface, mais dont l’ennemi salvateur s’éveille déjà, dans les ombres des profondeurs…
Pour combattre la tumeur humaine, les anticorps les plus appropriés sont également les plus insidieux. Insectes, araignées, rats, moustiques, cafards, propagateurs de germes, parasites des corps chauds, nuisibles rampants aux glandes empoisonnées… Les créatures prolifèrent, les microbes se répandent, les venins gagnent en virulence, et toute cette vermine que l’homme s’efforce de détruire, au nom d’une conception de l’hygiène doublée d’une phobie séculaire, devient l’instrument de la réaction allergique de la Terre. Un instrument monstrueux, effrayant d’efficacité, et dont la meilleure arme est la peur qu’il inspire…
2004…
Mesure de précaution, prémisses d’une vague de psychose sans précédent, le transit des denrées périssables est frappé de contrôles draconiens qui se transforment vite en interdictions pures et simples. Les pays les plus industrialisés sont les plus gravement touchés par le phénomène, dont les premières manifestations ciblent les fondements des sociétés humaines en s’attaquant à la nourriture, à l’eau et aux défenses immunitaires. Les Etats-Unis durcissent leur politique de protection et finissent par rompre leurs accords commerciaux avec la plupart des pays d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Europe de l’Est. Dans les pays les plus pauvres, en proie à l’embargo des grandes puissances, la question des ressources alimentaires débouche sur une crise sans précédent. L’Afrique, l’Asie, puis l’Amérique du Sud sont frappées de plein fouet par la famine et la propagation des germes. Les rapports catastrophiques de l’OMS et de l’OMC plongent les nations occidentales dans le bourbier d’une politique internationale incapable de gérer ce chaos en gestation.
Et dans les ténèbres, la vermine grouille…
Les Etats-Unis rompent leurs accords d’aide humanitaire et bloquent leurs frontières…
Grande-Bretagne, France… La paranoïa s’empare des usagers des transports et du métro…
2006…
Le phénomène se nourrit des premiers tremblements des civilisations humaines. La passion et la peur alimentent les mouvements contestataires, les sectes ivres de fin du monde et les courants de pensée prônant le retour à l’état naturel. Les consciences s’éveillent aux égarements de l’ère moderne et aux atrocités infligées à la planète, et le chaos entraîne l’humanité dans une spirale d’attentats terroristes, d’exils, d’émeutes et de suicides collectifs. L’hécatombe se poursuit, les victimes de la folie des hommes s’ajoutent à celles du fléau de la vermine, et le monde morcelé plonge dans le chaos…
Les morts s’accumulent par dizaines de milliers, victimes des épidémies et de la contamination par l’eau, la viande bovine et les piqûres d’insectes. Face au danger, les hommes paniquent, comme ces fourmis qu’un coup de pied suffit à faire courir en tous sens. L’urgence d’une solution aux vagues d’épidémie crée des fissures dans les piliers des sociétés modernes, reléguant au second plan les affaires politiques, le commerce et la gestion des foules. Les cortèges médicaux avouent leur impuissance. Qu’un vaccin semble efficace, et ce sont dix nouvelles mutations qui apparaissent, plus meurtrières encore. Qu’un traitement insecticide fasse ses preuves, et ce sont des rats, des araignées, qui s’attaquent aux réserves alimentaires…
Espagne, Italie, Portugal… Des nuées de criquets venus d’Afrique s’abattent sur les champs…
2008…
Des conseils spéciaux fleurissent, composés de scientifiques, de diplomates et de militaires. Premières mesures d’urgence votées : la mobilisation de l’armée et le lancement de vastes campagnes de traitement chimique. Des équipes mêlant biologistes et militaires procèdent à des essais d’armes et de poisons spécifiques, des missions d’extermination sont envoyées dans les souterrains des principales villes, des secteurs entiers sont placés en quarantaine, des flots d’insecticide sont déversés dans les rues, sur les champs…
Alors que les chercheurs avouent leur incapacité, on retrouve des restes d’oiseaux, des cadavres de chiens égorgés, des corps humains aux orbites creuses et aux entrailles rongées, au petit matin, sur les bancs des stations de métro. Aucune explication ne semble réaliste. Des centaines d’espèces ont muté, en moins d’une dizaine d’années, pour devenir des véhicules de bactéries mortelles ou des monstruosités aux proportions terriblement réelles. Les pires craintes de l’humanité prennent forme dans les souterrains, le monde devient cauchemar, la vermine devient omniprésente dans les esprits, et dans les rues…
Etats-Unis, Russie, France… Les gouvernements votent l’intervention sanitaire de l’armée…
Japon, Europe… Des corps sont retrouvés dans les souterrains, déchiquetés par les rats…
2011…
L’armée entre en croisade dans des villes hystériques, en proie à la panique et au pillage, et les véhicules blindés arpentent les rues jonchées de verre et de débris. L’exode se généralise dans tous les pays occidentaux, comme une interminable procession d’hommes et de femmes terrifiés. Les villes se vident, abandonnés à la vermine et aux camions des soldats. En Amérique du Nord et en Europe du Sud, les champs subissent les assauts de nuées de sauterelles, contre lesquelles les pluies d’insecticides semblent inefficaces, et les pays d’Europe de l’Est tremblent sous la menace de hordes de cafards, de moustiques et de charognards. Les villages désertés à la hâte servent de nids aux araignées, les bas-côtés des routes s’emplissent de véhicules accidentés et l’homme alimente le chaos par sa terreur et son impuissance.
Les égouts et les souterrains des grandes villes deviennent l’antre grouillant des vers, des parasites, des monstres gorgés de produits chimiques militaires. En surface, les rues sont à feu et à sang.
Mobilisée pour faire face au péril insecte, l’armée se retrouve confrontée aux émeutes, aux fuyards, aux fanatiques armés et aux attentats terroristes de plus en plus violents. Les zones de conflit se multiplient aux frontières des états déchirés, et les armes bactériologiques déciment des centaines de milliers de personnes sans qu’aucun organisme international ne soit capable d’intervenir. Les premières communautés de radicaux se barricadent derrière les murs de complexes militaires, investis de force, ou d’usines de conditionnement censées assurer quelques mois de survie alimentaire. Les gangs ravagent les villes en feu, les fanatiques tombent sous les balles de l’armée et les morsures des atrocités grouillantes…
Europe… Des convois de déchets radioactifs sont pris d’assaut par les éco-terroristes…
Russie, Europe de l’Est… Des alertes à l’Ebola font trembler les gouvernements…
2016…
L’acheminement de l’électricité et de l’eau devient un vague souvenir… Les relais de communication s’éteignent un à un, les médias ne diffusent plus que pour des foyers vides où des cadavres en décomposition, figés devant leurs téléviseurs, attendent de nourrir les charognards. Privée des fondements de sa civilisation, l’humanité se voit contrainte de redécouvrir les lois élémentaires de la survie. Des communautés se forment, des convois de nomades s’organisent, des survivants se fédèrent autour de bâtiments fortifiés, de centrales électriques ou de points d’eau pourvus de filtres.
La majorité des hommes reste soudée par une terreur et une haine viscérales de la vermine, mais de nouveaux courants de pensée peu à peu gagnent du terrain au sein des communautés reconstituées. Des groupes de chasseurs se forment, armés de trouvailles meurtrières puisées dans des stocks militaires abandonnés. Des prophètes se dressent, hérauts de vérités mâtinées d’écologisme, de foi primordiale et de chamanisme. Les terroristes écologiques multiplient les assauts contre les forteresses de métal et les dernières usines en activité. De nombreuses communautés se fédèrent autour de valeurs aussi radicales que la destruction de la vermine, la célébration du réveil de la Terre, l’avènement d’un nouveau cycle, la vénération païenne des araignées ou des cafards…
2025…
Que reste-t-il, de notre monde à l’agonie ?[/align]

Gameplay

Immersion
Alors que tu te réveilles d’un long coma, tu souffres d’une amnésie partielle qui se résorbera sans doute vite dès que tu auras clairement retrouvé tes esprits. En attendant, tu es bien content de voir que quelqu’un est là pour te remettre les idées en place.

L’environnement a changé,les créatures autrefois dites “sans défenses” ont mutées dangereusement jusqu’à devenir des véritables machines a tuer,et les autres se sont éteintes.L’homme n’est plus au sommet de la chaine alimentaire,il en est même presque tout en bas.

Tu es faible,tu te déplace difficilement tentant de te mettre quelque chose sous la dent ou de trouver quelque chose pour t’habiller un minimum.Avec ton amnésie,certaines de tes anciennes capacités ont disparues te laissant presque sans défenses dans ce monde.

Il te faudra surement tenter de rejoindre un groupe de survivants ou une des dernières villes qui tiennent encore debout…

Sera tu assez fort pour survivre ?
Situons nous maintenant..

Le jeu se passe en 2025 dans une une région envahie par la populace zombie et autres mutations/atrocités de toutes sortes,par contre,impossible de sortir de la zone de quarantaine mise en place par les militaires autour de cette région.Il faudra donc comprendre que le but ultime du jeu sera de sortir de cette zone en question,en vie et au fil des MAJ,de nouvelles villes seront ajoutées comme nouvelles zones d’intrigue et d’Events.

Craft

Tous les objets du jeu pourront être craftés a part les composants.
Pour crafter un objet,il vous faudra donc:Les composants,le niveau d'inteligence nécessaire,un atelier de la bonne catégorie(Armes de CaC,Arme a distance,Vêtements,etc.)
Exemple,
Item:Lance en bois
Composants:5 morceaux de bois usé
Atelier:Armes de CaC
Points en intelligence:5

Les composants seront tous disponibles en jeu,par exemple,le bois usé sera récoltable sur les arbres,sur les débris,etc.
D'ailleurs,le niveau du composant augmenteras avec la qualité de l'arme et son niveau.
Exemple,un sabre prendra du bois de qualité et non du bois usé.

Images


Image IPB

Explications du GUI:
1=Barre de vie,Barre d'Endurance(Chaque actions vous enleveras de l'endurance,Barre d'XP.

2=Barre d'actions rapide

3=Chat

4=Icones d'inventaire,d'options,etc.


Staff
Moi même


Liens
Blog de développement
PS:Tous les commentaires,critiques,conseils sont acceptés et je recrute !
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

D’expérience ça fait jamais long feu ces projets ( a part SlayersOnline eheh), mais bon courage ! T'as l'air d'avoir à peine commencé ? Ou bien tu réserves tes visuels de décors ect pour plus tard ? La rubrique gameplay ne parle pas de gameplay, mais de background ?

Ne nous prenons pas au sérieux, il n'y aura aucun survivant.
- Alphonse Allais
 

www.kyope.fr

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oh il n'y a pas que Slayersonline qui a réussi x) Par contre,au niveau du gameplay,c'est voulu.J'ai commencé il y a environ 3 mois...(Changement de moteur,etc) et j'ai décider d'utiliser un moteur basé sur Crystalshire développer édition(VB6) que j'ai modifié en grande partie.Au niveau d'aide,c'est surtout d'idées de quêtes,d'items,de personnages,etc et d'aide au niveau du pixel-art.(Créer les personnages,les décors,etc.)

Voici un autre screen,de l'écran de connexion.(Je ne suis pas un grand artiste,mais j'ai fais de mon mieux.)D'ailleurs,si quelqu'un veut y apporter des idées,aucun prob.


Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines après...

Pour l'instant,je bosse beaucoup sur les stats des joueurs,les PNJ,les mobs. Il y a donc 5 carac' principales dans Omen. Force:Augmente les dégats au corps a corps et le poids que le personnage peut porter. Endurance:Augmente les points de vie de personnage et sa résistance à la radiation,faim,soif,etc. Intelligence:Augmente le niveau de craft du personnage. Dexterité:Augmente les dégats à distance,le niveau de craft. Chance:Augmente le taux de loot et les randoms en jeu.(Lors de quêtes.) Au départ,vous commencez tous avec 5 dans toutes ces carac' et pouvez par la suite mettre 3 points par niveau sachant que le niveau maximum sera de 20 à l'Alpha et par la suite sera augmenter au fil des mises à jours. Ensuite,il y aura 4 slots d'items pour votre personnage. Le casque,l'armure(Haut+Bas),L'arme,Le Bonus Item. Un Bonus Item sera un "perk" qui seront gagnable via des quêtes,et vous pourrez en choisir un de base à la création du personnage. "Turtle" en est un,pas besoin de préciser ce qu'il augmente.(Si ? L'endurance)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois après...
  • 1 an après...

J'ai un projet depuis un certain temps, créer un serveur roleplay post-apocalyptique, il sera en alpha à partir du mois prochain, le serveur se déroule dans le désert et il nous reste au final que la map à finir,(elle est déja jouable mais un peu petite à mon gout.)

 

Avancement:

                          - Des loots aléatoires sur la map dans les batiments et dans les ruines

                          -Un chat roleplay comprenant les /me,les distances,etc.

                          -Les factions principales du jeu avec prise de controle de certains lieux importants

                          -Zones de radiations autour de la zone de jeu

                          -Agrandir la map

                          -Background du serveur à finir

 

1421443898-2015-01-16-16-28-53.png

 

1421443862-2015-01-16-16-26-48.png

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

×
×
  • Créer...