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Eli Connor


Bouhrhein

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Eli Connor (Bouhrhein).pngEli Connor est né en 2193 dans l'agglomération de l'ex-San Diego. Fils d'un Récupérateur tué par des pilliards lorsqu'il avait 19 ans et n'ayant jamais connu sa mère, il marche sur les routes des terres désolées de Californie à la recherche d'informations sur elle. Depuis le plus jeune âge, il étudia la mécanique et l'informatique à partir d'une panoplie de livres trouvés par son père quelques années avant la naissance d'Eli, dans une sorte d'usine d'avant guerre. Tous ces livres portaient l'inscription "RobCo Industries". Son père les appelaient "ses trésors" et les cachait "pour ne pas que la Confrérie nous les volent" rabâchait il.

 

Durant toutes ces années donc, et encore plus ardemment après la mort se son père, Eli apprit tout ce qu'il put des ces "trésors", que ce soit en mécanique, en électronique ou en informatique. Héritant de l'intelligence de sa mère et de la curiosité de son père, Eli devint un technicien hors pair, capable de réparer ou de créer n'importe quel objet électronique ou mécanique. Son esprit scientifique parfois froid voir trop prononcé en font une personne extrêmement analytique et cartésienne, avec peu de place pour les émotions ou les croyances. Il est cependant décrit par ses rares proches comme quelqu'un de bon, et surtout sarcastique et drôle, surtout aux moments les plus... inappropriés.

 

Physiquement, Eli est quelqu'un de taille normale (1m75), cheveux châtain foncé et toujours avec une barbe de deux semaines. Il est normalement constitué, mis à part les nombreuses cicatrices et brûlures présentes sur sa main droite dues aux nombreuses expérimentations et bricolages qu'il a pu faire tout au long de sa vie. Droitier de naissance, ses nombreuses blessures l'ont rendu ambidextre, ayant d'habitude d'utiliser sa main gauche lorsque la droite était plâtrée ou bandée.

Il porte toujours sa tenue RobCo (trouvée en même temps que les livres) en hommage à son père, Léo. Il porte également une sacoche en cuir remplie de pièces électroniques, de circuits, de câbles et d'outils tous plus divers les uns que les autres ainsi qu'une ceinture en cuir pouvant accueillir munitions et holsters.

 

Malgré un esprit d'équipe efficace quand il le faut, Eli préfère la solitude et le calme de ses pensées. Il lui arriva d'être accompagné d'un où plusieurs compagnons, mais jamais très longtemps. Soit ils le lâchaient, soit Eli partait un peu plus tôt que prévu dans la nuit pour retrouver sa solitude naturelle.

 

Ainsi, Eli vagabonde de communautés en villages depuis la mort de son père pour aider ceux sur sa route, mais surtout en connaître un peu plus sur cette mère inconnue dont il n'a qu'un portrait et un prénom, Mélinda.

 

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  • 2 semaines après...

Fallout-4-Boston-Wasteland-Freeway.jpg?4

Carnet du bricolo #1

 

Après avoir marché plusieurs heures sur l'autoroute accompagné de BuffyNils et Harry, une épaisse fumée noir qui sortait en contre-bas attira notre attention. On ne pouvait pas voir d'où elle provenait, la source de la fumée était en bas et cachée par une falaise. Arrivé à peu près au niveau de la fumée, j'accroche ma corde à une carcasse de bus d'école qui avait l'air suffisamment lourde pour tenir le poids d'un d'entre nous, largement même. La falaise qui donnait sur la source de la fumée n'était pas juste en dessous de l'autoroute, mais plus loin, mais il fallait d'abord descendre de notre position. Je descendis en premier, et arriva sur des carcasses de voitures.

En voyant Nils commencé à descendre, je me met en marche pour enfin voir de quoi venait cette fumée. Buffy, Nils et moi arrivés au point de vue, on constata d'où venait la fumée : un petit village d'une demi-douzaine de bâtiments, pas plus, et cette fumée épaisse qui sortait derrière une petite cabane, au centre. Dans sa lunette, Buffy voyait un village vide, désert, avec les portes encore dégoulinantes de sang, et soudain, un vieux qui s’essuya son visage avec ses mains ensanglantées. Il tira à peu près la même tronche que moi à ce moment là, une tronche dégoûtée. Après avoir discuté vite fait de comment descendre cette petite falaise, on décida d'être originaux et d'attacher une corde à une caillasse pas loin. Je sais pas où Nils chopa cette idée de fou quand même... Il descendit, moi ensuite, et Buffy enfin. Toujours un peu à l'écart celle-là, m'enfin bon, c'est pas les flingues qu'on a en trop dans notre groupe, j'vais pas commencer à gueuler. On s'approcha "discrètement", des vrais ninjas, en faisant des tempêtes de sable avec nos pieds et tout, j'vous jure ! Buffy se tapa un p'tit sprint jusqu'à un bâtiment à coté, pour spot le vieux, au cas où. On s'approcha d'elle, parce-que bon, on a des flingues mais sans déconner, c'est pour faire joli hein. Donc je disais, on s'approcha de Buffy, toujours ravie de nous avoir dans ses pattes, et attention hein, je dis pas "pattes" parce-qu’elle est black hein, c'est une expression, j'veux pas de soucis avec elle moi. Pff, t'façon qui va lire ça ? Enfin...

Ça schlinguait putain, pire que quand tu crames une batterie, mais genre pire, pire quoi. Pourtant, croyez moi, ça schlingue une batterie cramée. Quand j'y pense, ça sentait exactement comme quand je me cramais au faire à souder à une époque. Bref, le vieux cria le prénom "Karl" à un moment, pour lui demander si il y en avait encore. Nils m'a attrapé ce bras le con, et m'a dit j'sais plus quoi, qu'il voulait nous bouffer où je sais pas trop... Il avait juste l'air exténué ce vieux, pas affamé ! J'en avait marre de me cacher, il avait pas l'air bien méchant ce vieux dégarnis avec ces gants. J'décida de me montrer, les mains levées parce-que j'avais pas non plus envie de me faire flinguer, surtout qu'ils étaient surement tendu comme des slips avec tout ce sang... "On craint rien !" j'ai gueulé.

Le vieux m'a regardé et a commencé à me poser des question, d'où on venait, combien on était, qu'est ce qu'on foutait ici, un peu agressif le gars, enfin... tendu quoi. Notre échange c'est finalement finit par une poignée de main accompagnée de son nom, "Harold, mais tout le monde m'appel Doc Sand" disait-il. L'autre à coté, Karl, putain les jetons hé ! La même gueule qu'un boxeur, sauf en plus grand et plus baraque. Bon apparemment il était avec Sand, mais bon, faut pas le rencontrer au sortir du lit celui là, parce-que tu te rendors direct ! Il parlait peu, mais il était cool. Et des bras en plus, je dis jamais non. 

 

 

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Ils nous informèrent de ce qui était arrivé ici, du massacre de cette petite communauté par les BloodSwords, un gang de pillards qui ravagent la région depuis quelques temps. Le sang sur les mains du Doc venait d’une femme survivante qu’il a tenté de sauver, en vain. On me proposa d’aider de finir de brûler les derniers cadavres, par respect pour eux je présume, d’où l’épaisse fumée noir qui attira notre attention. J’ai essayé de leur dire que faire un immense feu avec des cadavres n’allait pas attiré que des gens comme nous, mais apparemment, le “respect de leur âmes” - ou je sais plus trop quoi - était plus important. Des foutaises de religieux pour moi, mais on venait de les rencontrer, j’allais pas insister, pas encore en tout cas. 

Une fois le village à peu près nettoyé, je me suis mis en quête de trucs divers et variés qui pourrait m’être utile. J’ai pas été déçu, il y avait l’air d’avoir un gars qui aimait bien récupérer des tas de trucs. Une vieille lampe, des piles pas toutes bonnes, un pic à bétail cassé (mais jamais pour bien longtemps avec moi), et une batterie de bagnole que j’ai gentiment demandé à Karl de porter. Toujours utile, des bras. On décida de se réunir pour bouffer un truc, les estomacs commençaient à crier. On discuta un peu des BloodSwords avec Sand et Karl.

Une fois tout fini tout rangé, on se remit en route pour le Var, avec Doc et Karl, qui suite à ces événements, n’étaient pas contre un peu de compagnie. On remonta la petite falaise, et on arriva en bas de l’autoroute. La tête de Harry, les cheveux fou et l’air ahuris, un grand sourir, fût la première chose qu’on ait vu. J’attrapa la corde et grimpa sans soucis. Et c’est la que ça devient drôle ! Nils commença à monter, et il c’est emmêler les pieds, mais vraiment je sais pas comment hein, et chuta sur le siège d’une décapotable ! Il gueulait qu’il s’était pété le dos, le Doc proposa ses soins, mais Nils, trop fière et fidèle à lui même, eu comme premier reflex de fouiller la boite à gants de la décapotable en ignorant le Doc. Il a trouvé deux gants en cuir ce salaud ! Il en perd pas une quand même. Le Doc monta du coup, je lui tendis la main ; il avait l’air d’en chier avec ses vieux os. On repris la route, il était environ 17h. 

Une fois arrivé à une sortie d’autoroute, on marcha encore 20 min, la nuit commençait à tomber et la fatigue se faisait sentir. On se mit vers des carcasses de bagnoles. Nils et moi décidèrent de dormir dans une épave, les autres voulaient dormir dehors (à leur guise j’ai envie de dire). 
On essaya de pioncer un peu, mais Harry avec sa super aptitude à être casse-burnes en lançant des caillasses sur une tôle de voiture en énerva plus d’un. Karl gueula un coup, rien pendant à peu près 2 millisecondes, et Harry relança ses cailloux sur une épave rouillée de la zone. Je gueula son nom, il s’excusa, d’une petite voix amusée. Tss… 

La nuit arrivée, nous sombrèrent tous dans un sommeil bien mérité. 
 

A suivre... 

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