[Fan - Fiction] De sable et d'acier

[Lord Of Laugh]

Salut tout le monde ! Ça fait quelque temps que j'ai envie de me lancer dans une fan fiction, du coup la voilà, la voici. Pour commencer je dois vous dire que je ne compte pas reprendre des lieux ou personnages de l'univers fallout, seul le postulat de base est réutilisé ( à savoir l'embranchement technologique différent du notre, la chute des bombes et les expériences dans des abris).

 

Chapitre 1 : Le réveil.

Le vent souffle toujours sur les grandes étendues désertiques résultantes de la guerre thermonucléaire du siècle passé. La poussière, pire ennemie de la vie en ces lieux, radioactive parfois, souvent mortelle. Elle s'insinue dans chaque recoin, chaque plis de vêtement, chaque œil, chaque bouche pour former une pâte qui finit irrémédiablement à la mort. Peut d'hommes s'aventurent dans ce désert, reconnu par tous comme étant la zone la plus dangereuse de la région. Pourtant, là, au cœur de cette fournaise, gît-un homme, mourant, rampant dans le désert, priant pour son salut.

- Mal au crâne... J'ai soif... Et cette chaleur... Où suis-je? Tant de...De lumière...Si chaud...Et cette poussière,... Partout. J'ai du mal... à respirer. J'ai soif...

Son supplice s'amenuisa à la nuit tombée, la chaleur se dissipant au profit d'une nuit plus fraîche mais toujours désespérément sèche. Après plusieurs heures à ramper dans le sable et la poussière, s'emplissant les muqueuses de saloperies à chaque tentative d'inspiration, notre homme tomba sur une pierre, humide au touché. Il absorba autant du précieux liquide que possible. Et s’endormit, ivre de sommeil, la face contre le roc.

Au matin, il constata le roc à la lumière du soleil. Il était rouge comme le sang, n'ayant plus la force d’éprouver du dégoût, l'homme se releva sur ses jambes, encore peu sûre à cause de la journée de la veille. Il trouva un cadavre de l'autre côté du rocher, un homme grand, dans les quarante ans et entièrement équipé pour la survie. Il ramassa le cache-poussière et le masque respiratoire du corps, cela lui servira plus qu'à ce pauvre homme. Il ne vit cependant aucune arme...

- Qui va dans le désert seul et sans arme ! Et qu'est-ce que j'y fout moi dans ce putain de désert ! On est où bordel de merde !?!

Il trouva un journal et de quelques vielles capsules de bières et de soda dans la poche de sa nouvelle veste, il jeta les capsules inutiles et se mit à parcourir le journal.

"Première équipe d'exploration de la Rhénanie, départ de Dijon à 12:00, mission organisée par Les Partisans.

Je suis pas très serein à l'idée de m'engager dans le Désert aux mirages. Mais bon, la paie est plus qu'alléchante et l'équipement est fournit ! On a de l'eau pour plusieurs mois et on est suffisamment armé pour vaporiser un feuleur ! J'ai peur que d'une chose, c'est que le désert porte son nom et qu'on crève à cause des mirages et des poussières radioactives. La nombre d'ogives atomiques qui on frappées cette région était tellement important que tout à brûler, arbres, oiseaux, chiens, chats, humains, bâtiments... Le ciel lui même semble toujours brûler..."

- Des ogives atomiques ! C'est quoi ces conneries, c'est impossible... 100 ans... C'est quoi ce bouquin ? Comment c'est possible,... Je... Me rappel, je suis chez moi à Mulhouse, je regarde un match... Et puis, je me suis endormi ? MAIS MERDE ! Qu'est-ce que je fous là ! Je peux pas encore être à Mulhouse ! Et puis cent ans, je serais mort depuis longtemps avec ma trentaine bien entamée...

Ne voyant rien d'autre d'écrit sur le journal, notre survivant pensât être proche du lieu de départ de son confrère moins chanceux dans le malheur que sa personne. Il avait déjà remarqué une étrange lueur la nuit dernière, vers l'ouest. Il s'engagea dans cette direction, mettant difficilement un pied devant l'autre, la fatigue et les courbatures dû au manque d'eau étant toujours présentes. Cette journée se passa mieux que la précédente, le masque protégeant ses muqueuses et le manteau le protégeant en partie du sable et de la chaleur.

Il atteignit la l'origine de la lueur peu de temps après seize heures. Ce n'était pas ce qu'il attendait, il voulait la civilisation, de l'aide. Mais à la place il n'obtint qu'un gigantesque lac d'une eau pure, presque trop pure pour être réelle. Aucune plante et aucun animal à proximité. La soif tiraillant notre homme, il se pencha pour s'abreuver et l'eau refléta quelque chose... Il était seul, et pourtant...

 

A suivre...

 

Modifié le 23 juin 2015 par Lord Of Laugh

[Invité]

bon début, mais le mots "fraiche" donne un sentiment d'humidité, le mots froid peux aller avec le sec (le froid sec par exemple)

[Lord Of Laugh]

L'idée de fraicheur étant ambigu pour certains, j'avais précisé que c'était toujours aussi sec. Et frais ne veut pas forcément dire humide (air frais et sec, on voit ça pour la conservation souvent).

[Dr Gast]

Sympa ce début d'aventure

Un peu trop de virgules à mon goût et quelques fautes restantes, mais c'est pour chipotter, la lecture est agrésable.

 

J'aurais une remarque et une question :

On est dans le désert - ce dont on n'est sûr que vers la moitier du texte -  donc "poussière" pourrait de temps en temps être remplacé par "sable".

L'histoire avec la pierre, c'est que le mec a bu le sang ruisselant dessus (du mort tout frais qui pourrait s'être encoublé dessus ou endormi dessous...) ?

 

Modifié le 24 juin 2015 par Dr Gast

[Lord Of Laugh]

Désolé pour les virgules, c'est compulsif.

En effet, je pourrais utiliser sable, mais le sable n'est que de la poussière ^^.

Ouais, le mec à bu du sang du mec mort sur le rocher. J'en dit pas plus ça arrive bientôt.

[FR567-54]

Salut j'aime beaucoup les fan-fiction alors je te propose un truc a partir d'aout et ce soir

mp moi

Salut j'aime beaucoup les fan-fiction alors je te propose un truc a partir d'aout et ce soir

 

Excuser moi pour le bordel de mon texte je suis nouveau alors je test

 

Modifié le 29 juin 2015 par FR567-54