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  • livre
  • le dernier homme
  • A.D.G.
  • L’Avant-dernier homme par A.D.G. pp 75-78 in « le Dernier Homme », anthologie, « Jérôme Leroy présente 22 nouvelles inédites » , Les Belles Lettres éd., 1 vol. broché, in-octavo, 296pp. photographie de couverture Brad Wobleski. nouvelle d’expression française
    1 ère  parution. : 2004
    le dernier homme
  • (1947-2004) De son vrai nom Alain Dreux Gallou. Romancier et journaliste français de droite (d'extrême-droite?) Auteur-phare de la "Série Noire" avec des romans policiers parsemés de nombreuses références littéraires. S'installe en Nouvelle-Calédonie. Activité politique au Front National. A  gardé cependant l'estime de nombreux romanciers dits "de gauche".
  • 2004

Jéroboam Papoux traverse une société à l’agonie. Autour de lui, les gens meurent, sans raison. La maladie mortelle, foudroyante et non douloureuse, sans signes révélateurs, terrasse progressivement le monde entier, sauf lui, Jéroboam Papoux, fonctionnaire au ministère des Ressources langagières, qui constate les faits, sans pouvoir les expliquer:
« Puisque tout le monde mourait, pourquoi pas lui, mais il devait constater que tout son entourage familial, professionnel, amical était mort depuis belle lurette quand lui demeurait en vie, sans souci majeur, avec juste une petite angoisse bien naturelle, quand il avait trouvé sa femme froide un matin à son réveil, son aîné mort à l’école, la benjamine et la cadette frappées à cinq minutes d’intervalle devant la télévision, laquelle ne marchait plus, faute de personnel et parce qu’il était déprimant, voire même un peu lassant de contempler les gens mourir en direct sur le petit écran. »
Cette maladie, la « morticose » ne le dérange pas plus que cela. Se déplaçant à l’aise dans une France de plus en plus vide, Papoux s’organise « une vie pépère de retraité de l’existence » mais il ne sait pas encore qu’il était le dernier humain sur terre. Et pour cause : la morticose est de son fait, c’est lui qui, par cercles concentriques, avait contaminé son entourage, de par sa seule qualité relationnelle. Le dernier homme sur terre, c’est vite dit. N’était-il pas plutôt «l’avant-dernier » ou même «l’avant-avant-dernier » car le texte qui le dépeint – écrit par qui et pour qui ?- ne suppose-t-il pas au moins deux autres survivants ? Une petite nouvelle sans prétention qui s’amuse avec les conventions du thème.

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