- livre
- menaces et guerres nucléaires
- Will JENKINS
-
Assassinat des Etats-
Unis par Will Jenkins, Hachette éd., 1951, coll. "Le rayon fantastique" N°1, 1 vol. broché, in- 12 ème , 256pp. couverture muette. roman d’expression anglaise (USA)
1ère parution : 1951 titre original : the murder of the USA
menaces et guerres nucléaires -
(1896-
1975) Pseudonyme de Murray LEINSTER. Auteur américain de science- fiction. Très tôt, il devint écrivain professionnel. Il publia plus de 1500 nouvelles et récits, notamment dans les pulps (Argosy, Astounding). Scénariste de nombreux films et auteur de scripts pour la radio et la télévision. Prix Hugo de la meilleure nouvelle - 1951
Les bombes atomiques s’abattent sur le territoire des Etats-
La totalité de l’intrigue tourne donc autour de ce point : découvrir l’identité du pays agresseur. En vue de l’éventualité d’une attaque, l’on avait parsemé le territoire américain d’un grand nombre de bases souterraines et secrètes, appelées « Terriers », en connexion radio les unes avec les autres, dont le seul objectif était de répliquer à coup sûr.
Le Terrier 89 est situé sous les montagnes rocheuses, sous le glacier Rainier. Il est dirigé par Fred Thale et le lieutenant Sam Burton, qui cherchent à percer eux aussi l’identité de l’agresseur. Le lieutenant Burton, apercevant des êtres humains en perdition sur le glacier, les recueille au sein de la base. L’une des rescapées, Betty Clarke, est une ancienne connaissance de Sam qui s’en méfie terriblement car il la prend pour une espionne.
Sachant que la base va être incessamment la cible d’un coup nucléaire, Thale s’obstine à dévier les bombes pour, au moins, en récupérer une intacte dans le but de l’étudier. Par le brouillage des fréquences de guidage, Thale arrive à faire s’écraser l’un des missiles non loin de la base, sans que celui-
«A Londres, les grandes artères étaient tellement encombrées que les cadavres de gens étouffés continuaient à avancer, soutenus par la masse qui les entourait, fleuve humain s’écoulant avec une lenteur d’agonie vers les derniers faubourgs de la ville. A Paris, la panique provoquait une effervescence démentielle. Sur la grande place vers laquelle convergeait malheureusement quatre avenues alors qu’une seule rue étroite permettait d’en sortir en direction de la banlieue, les fuyards se concentraient en torrent. Chanceler, c’était tomber, et tomber, mourir. Là où la pression était la plus forte (…) s’élevait un monticule qu’il fallait franchir pour s’évader de cet enfer. Et le monticule allant d’un mur à l’autre, jusqu’à la hauteur du deuxième étage, était fait de cadavres piétinés. »
Thale est près du but. L’identité de l’agresseur est certaine bien que celui-
« l’Assassinat des Etats-
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.