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L'histoire de Ksam et Smartiz


Invité Cbast

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"Il git le crâne éclaté derrière cette voiture"Ksam prononca cette phrase, puis se décala en direction opposée des caisses, tete baissé. La phrase retentit plusieurs fois dans le crane de Janson. Interieurement, Janson fut intimidé par son audacité, mais l'expression de son visage ne le montrait pas. Il réalisa que Ksam n'était pas un homme à prendre à la légère...qu'il devait donc se méfier et rester sur ses gardes. Il le fixa toujours du regard, seul ses yeux se baladaient et survaillaient ses moindres fait et gestes. Sinon le reste de son corps resta immobile comme une statue de pierre, et le canon toujours pointé au sol. En réalité, Janson savait lui aussi garder son sang-froid, meme pendant des moment extrement tendu, comme la par exemple. Mais c'est vrais que Janson avait du mal à le cerner, cet etre mysterieux...il le distingait des ses autres adversaires, meme des plus coriaces. Il avait affaire à une autre catégorie de personne malvaillant...quelqu'un d'étrange, de spéciale ou en un mot: indéfinnisable.Janson n'est pas simplement une "police de quartier", mais un homme d'expériences. Il se distinguait des autres policiers, il ne réagissait pas comme les autres, il était plutot calme, réfléchit et plus particulièrement instinctif. Son instinct ne lui trompait jamais, son 6eme sens se mettait en éveil dans les situations les plus délicates.C'etait un homme de carrière, il avait débuté à Dallas. D'ailleurs, il a toujours exercé ses fonctions la-bas. Mais juste avant la guerre, il devait se rendre à Houston pour enqueter sur la mort d'un Ranger. Il a du ensuite résidé à l'abris de Houston à cause de la menace nucléaire...Durant toute sa vie, il a enseigné les art martiaux, participé à des tounois, d'où son self-controle...Ses qualitées fait donc de lui un Ranger respecté par ses proches, idolatré, hautement reconnu parmis les rangers du pays...Ksam est toujours réfugié derriere les caisses, tandis que Janson a le regard vide. La situation est tendu, on assiste à un combat...psychologique...les yeux dans les yeux. Une tension froide surmonte les esprits des 2 Grands; Qui va ceder le premier ? Ksam joue t-il un role ? Est-ce un jeu dangereux ? A peine 5 secondes se sont écoulé, 5 secondes de combat psychologique...Ksam retient toujours son sourir et le regarde du coin de l'oeil. Janson, quant à lui, à le regard vide, concentré...quand soudain lui veint une vision: un coup de feux, une chute...Il a lui a fallu que quelques milliemes de seconde à Janson pour ressentir une reel menace.Il avertit ses collegues:"ATTENTION, IL A UN COMPLICE ARME !"Un coup de feu retentit au meme moment, Janson plonge derriere les caisses en bois, laissant ainsi la balle erraffler la tete du garde, ce qui lui fait perdre 24 PI sur 65. Il tombe lourdement à terre.Le coup était partit tout seul...L'autre garde, paniqué, dégaine son arme, la pointe dans une direction aléatoire et se rapproche vers son collegue...Te voila en plein coeur de l'action, au beau milieu de la secne.Que fait-tu ?(Des romans comme ca, je n'en ferais pas à tout les post, c'était simplement pour décrire Janson...^^ dsl si il y a des petite maladresse ou des incohérences, sinon je tente d'y rectifier^^)

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ouai je l'ai lu^^ Je pensais que les caisses étaient suffisement bas pour pouvoir s'y refugier en se baissant. Donc je pensais que meme debout, on pouvait tout de meme voir la personne à travers les caisses :) En fait je ne me suis pas trop fié à l'image, donc...Autres incohérences ?

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(HRP : pour moi c bon :biggrin5: )La tension est à son comble... Soudain, brusque froncement des sourcils de Janson."AT..."Le sang de Smartiz ne fait qu'un tour... son doigt a déjà pressé la détente."...TENTION, IL A UN COMPLICE ARME !"Le coup de feu est parti avant même que Janson n'est articulé la deuxième syllabe, pourtant celui-ci s'est déjà jeté vers l'abri providentiel que lui fournit un vieux tas de caisses vides. La balle siffle à son oreille alors qu'il est en plein vol plané, puis, sans doute guidée par la chance insolente du jeune gringalet, vient sérieusement entamer la tempe du garde posté derrière lui. Janson se retourne : la force de l'impact a projeté son collègue à terre. Deux centimètres plus à gauche, c'était la mort assurée. S'il survit à cette journée, il en gardera une belle cicatrice.C'est au tour de Smartiz de froncer les sourcils. "Merde! Il est rapide ce con."Le deuxième garde n'a apparement pas repéré le tireur embusqué. Il se dirige vers son ami à terre, ne sachant d'où provient le danger. Curieusement, Smartiz a le sourire aux lèvres. Il est soudain beaucoup plus calme : finalement, c'est facile de tirer. C'est même excitant."Heureusement que son pote est un abruti... C'est ça mec, vas-y viens dans mon champ de vision... Viens..."Le sourire de Smartiz s'élargit alors qu'il s'apprête de nouveau à faire feu, le canon de son arme pointé sur le deuxième garde, qui se tient bètement debout à côté de son camarade encore sonné."Prend ça, enfoiré!!" pense-t-il au moment où le chien percute la culasse de sa deuxième cartouche.

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"M...." se dit Ksam, laissant presque apparaitre une grimace sur son visage de mannequin. Cette crispation ne dura qu'une fraction de seconde.Il tira avec précision sur le garde impuissant déjà à terre, et se réfugia a son tour avec finesse, dos à une caisse. Janson et Ksam était comme dos à dos, des caisses les séparant."Tu sais Janson",commença-t-il, rompant le silence suivant le coup de feux de son jeune ami, "je trouve cela regrettable d'en arriver là..."Un deuxième coup de feu, un gémissement... Mais Ksam ne prit pas le temps d'évaluer les dégats causés au second sbire du Ranger."Je voulais éviter ça, ces gestes inutils. Tu as mal réagi. Mais je te propose un marché... en fait, non. Tu n'es même pas en position de négocier avec moi. Je te laisse une chance de t'en tirer. Tu le mérites. Mais ne la gâche pas. Jettes ton fusil et toutes les armes que tu peux porter sur toi, loin de toi. Ensuite lèves toi, les mains en l'air, et casse toi."Il y eut un silence avant que Janson ne réagisse aux paroles de Ksam, et face à la situation désavantageuse pour lui...

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La balle percute le bras du sbire, tandis que Ksam tire sur le sbire qui est dejà allongé, le mettant dans un etat critique.Pendant l'action de Ksam, Janson réfléchissa longuement à son sujet. Il avait déjà vu ce visage quelques part. Avant la guerre, au poste de police. Il apparaissait dans la liste des soupcons pour divers actes malveillants...Son nom lui revint à la mémoire...Ksam...Janson réagissa aux parole de Ksam:"Ecoute, Ksam, il est vrais que tu ne me laisse guere le choix, mais inutile de résister, tu ne pourra rien faire, à part me tuer, certes, mais cela ne ferait qu'agraver ton cas et cela ne menera à rien. Ces successions de coups de feux suffiront pour attirer l'attention du reste de la brigade...*Il fit un geste au sbire au bras écorché* Il rampe à droite loin derriere Janson, le long des caisses. Accroupit, il surveille les coins de rues.Tu vois Ksam, le cadavre de Jonathan et les coups de feux suffiront pour prouver ta culpabilité..."Janson fait voltiger son arme, à sa droite, contre le mur délabré du batiment...

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"Cric-crac"...Ksam recharge son fusil en faisant un discret signe de tête à son ami caché sous la voiture encore vrombissante...puis un silence presque interminable pour tous...sauf lui. On entendait plus que ce vieux coche et le vent du désert siffler dans les oreilles. Même les respirations s'étaient arrétées.30 secondes...peut-être plus, peut-être moins...mais le voilà qui se lève d'une impulsion sur ses jambes et qu'il vide ses 2 cartouches d'affilés sur le survivant pris par suprise...Une vint se loger dans son front, la deuxième transperça son coeur. Ce dernier fit un bond en arrière et retomba lourdement sur le sol, se vidant de son sang.Janson subit l'action. En l'espace d'un instant, Il se retrouve avec 2 canons au niveau de son visage...Ksam avait ramassé la carabine..."C'est ça, c'est bien lui...Ksam Lightning..." se dit le ranger.D'un ton sec et vide, Ksam lui lança "Debout."(HRP : bon j'prend des initiatives, mais j'tavoue que j'aimerais passer cette scène, ça devient un peu long ^^... si ça te pose pas trop de problème :) mais si ça t'ennuie j'modifierais)

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"BANG"La balle de Smartiz avait touché le second garde au bras, mais c'était insuffisant pour le mettre hors d'état de combattre..."Merde, merde et remerde."Alors que le policier battait en retraite vers le coins de la rue, Smartiz tenta de se ratrapper en lui tirant dans le dos, mais il avait oublié un détail... Lorsque son index pressa une nouvelle fois la détente, le seul bruit qui se fit entendre fut le cliquetis du chien se rabatant dans vide."Pfff mais c'est quoi cette arme de grand-père... On recharge plus qu'on tire bordel!"Il tourna alors son attention vers se qui se passait au niveau des caisse en bois : Janson venait de jeter son arme contre le mur de la bâtisse en ruine qui bordait la rue... Un long, très long silence s'ensuivit, alors que chacun des protagonistes calculait la prochaine action qu'il allait entreprendre pour se sortir de ce merdier. Smartiz en profita pour recharger. Son regard balaya la scène, analysant chaque détail.Le premier garde, qui avait lâché son arme, était toujours étendu sur le sol, sans doute inconscient. Son sang, qui se mélait à la poussière de la chaussée, formait désormait une grande flaque rouge autour de lui. L'hémorragie était importante : le pauvre n'en avait plus pour très longtemps. L'autre garde avait rampé hors du champs de vision du jeune homme, laissant derrière lui une trainée écarlate. Janson, apparement désarmé, était toujours caché derrière les caisses. Caisses, qui, de l'autre côté, abritaient également Ksam. Lorsque les yeux de Smartiz croisèrent ceux de son complice, se dernier fit un geste significatif de la tête, en direction de leurs adversaires. Il venait lui aussi de recharger son arme.Encore une fois, preuve fut faite que la communication entre Ksam et Smartiz se passait aisément de paroles. Au moment où le grand brun bondis de sa cachette, le petit blondinet se dégagea de sa planque. Au moment où l'athlète élimina le garde pris de cours par la soudaineté de l'attaque, le gringalet se redressa, prenant position derrière Janson. Au moment où Ksam se baissa pour ramasser l'arme de ce dernier, Smartiz baissa le chien de son fusil, produisant un son métalique qui attira l'attention du ranger. Celui-ci ne détourna son regard de Ksam qu'une fraction de seconde, mais ce fut suffisant pour que lorsqu'il se retourne, il se retrouve face à face avec le canon de sa propre carabine.Il ne fallu pas longtemps au ranger pour se rendre compte que même avec tous les arts martiaux du monde, le terme "mauvaise posture" était un euphémisme dans sa position...Smartiz fis le point sur la situation de Janson : l'un de ses amis était mort, l'autre ne valait guère mieux ; il avait un fusil de chasse dans le dos, et son propre flingue lui curait presque les narines. Non, décidément, le policier n'était pas en mesure de négocier..."Debout" lui ordonna Ksam, sèchement.

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"Debout" lui ordonna Ksam, sèchement.Janson, toujours accroupit, n'avait pas le moindre doute qu'il ne pouvait plus rien faire pour se démeler de cette situation...Janson regarda fixement les 2 canons de son propre fusil: un leger sourire s'esquissia aux levres. Ksam le surveillait attentivement.Avant de se lever, Janson le regard dans le vide et d'un ton presque rassuré, leur déclara:"J'aime bien votre facon de coopérer..."Ne pouvant se lever adroitement à cause du canon pointé sur le visage de Janson, tout en se retournant, il se leva donc vers Smartiz avec finesse tel un serpent se leverait pour face à son ennemis pour intimider sa proie. Il est debout, légerement incliné par rapport à ce dernier. Comme si on lui brandissait un couteau à la place d'une arme, il leva les mains à la mi-hauteur. Jadis, Janson s'était déjà retrouvé dans cette situation, que ce soit avec une arme à feu ou un couteau. Mais il avoue de n'etre jamais été retrouvé entre deux canons. Il prenait toujours des risques mais il fesait en sorte de les attenuer pour se sortir d'un tel merdier comme la par exemple.Pendant ce temps-la, les 2 complices réfléchissaient sur le sort de leurs prisonnier.Janson regarda impunément Smartiz, parce que des voyoux comme lui, il en a aussi connu des mûrs et des pas mûrs tout au long de sa carriere. Pour Janson, Smartiz ne représentait qu'un simple voyoux à ses yeux...D'un air presque désolant, les yeux plongés dans le vide:"Vous savez, vous m'auriez du m'écouter avant de faire quoi que ce soit...*les pupilles de Janson se détournent vers Ksam* Moi non plus je ne voulait pas en arriver à la..."Toujours incliné legerement sur le coté, mais cette fois-ci ses pupilles sont détourné vers ceux de Smartiz. Quelques secondes de silence absolu...Janson souris...puis une voix, differente de celle des 3 hommes, retentit juste derriere Smartiz, à 1 metre environ."Vous allez me faire le plaisir d'abaisser immédiatement vos armes, au risque de faire connaissances avec nos fusils à pompes...et les pompes funebres !"C'était Jamie, l'adjoint de Janson, il est équipé d'une armure métallique, d'un pistolet laser, entouré de 2 autres sbire armé jusqu'aux dents portant chaqu'un d'eux une armure de combat, tenant à la mains un fusil de combat en mode rafale. Les deux gardes pointent leurs armes sur Ksam, tandis que Jamie le pointe sur Smartiz.Juste au moment ou Jamie eut terminé sa phrase, Janson, toujours à la meme position, par un simple reflexe et d'une extreme rapidité, percute avec la tranche de sa main l'arme de Smartiz, la fesant tournoyer entre les mains de ce dernier, qui par mégarde libere une balle en une direction aléatoire, en l'air.Smartiz éffrayé par le coup de feu, Janson en profita pour faire un bond de coté et de se retouver auprès de ses compagnons...Smatiz quand à lui, s'est rapproché des caisses, tout pret de Ksam, pret à une éventuelle courses si besoin est..."Ksam, je ne sais pas si tu essayes de me bleuffer, mais je tiens à te dire que tu essayes de nous dissuader avec une arme sans munitions !" *Leger rires moqueurs des gardes*Janson, d'un ton sec:"Bon, allez nous chercher le JEK maintenant..."Le JEK repose toujours dans la voiture vrombissante, qui d'ailleurs attend ses proprietaire...Donc 2 solutions:-Soit vous butez toute la troupe.-Soit vous prenez la fuite en rejoignant la voiture, sachant que les flics n'oseront pas vous amoché au risque de perdre le JEK...Ils sont tout de meme pret à se défendre si vous vous appretez à les attaquer...(Je sais, j'ai fais un dénouement à la américaine, un peu exagéré peut etre mais j'ai fais un roman pour passer à la scene suivante, si tu y tiens toujours, bien entendu...:))

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  • 2 semaines après...
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