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Préparation d'un roman post-Apocalyptique


Invité

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Merci philipos, C'est une bonne idée mais justement je pense que quand c'est trop d'actualité sa ne donne pas envi de lire. On nous parle tout les jours du japon, je pense que sa en soule pas mal. Je ne suis pas pour l'idée de la centrale, mais plus pour celle d'une bombe sale + virus ! J'ai trouvé une solution pour avoir un peut plus de liberté, en effet je pense reprendre le délire des abris de Fallout, mais en changeant complètement l'histoire. J'ai fait un premier essai pour voir ce que sa donne et je trouve que sa marche mieux, c'est évidant, après avoir joué à Fallout on connais mieux les abris nucléaire! J'ai vraiment envi de faire ressortir un coté "Funky" au monde, le rock des années 50' m'inspire énormément, Jerry Lee Lewis ou Elvis Presley par exemple. Je ne sais pas si sa fonctionnera, mais je pense que reprendre l'idée des abris n'est pas faire une vulgaire copie de ce qui à déjà été fait. Je posterais le début de l'idée tout à l'heure je pense.

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Merci Shangalar, J'aimerais surtout avoir plus de temps à y consacrer, mais j'avance grave à tous vos conseils, et si se projet n'aboutis pas, je n'aurai rien perdu, au contraire même j'aurai acquis de nouvelles connaissances fortes utiles. Je me demande qu'elles créatures mutantes vont arpenter se monde... :rolleyes5:

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Bon les gars, soyez réaliste mais indulgents ( sa sera dur de faire les deux!)
C'est un essai que j'ai réalisé en une soirée, je voulais m'entrainer un peut:

Il y a des fautes que j'ai pas eu le temps de corriger il me semble, syntaxe par exemple, et aussi l'histoire n'est pas encore spécialement approfondie.



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La bible du monde, cet incroyable livre était distribué à chacun d’entre nous dès le plus jeune âge, il regorgeait d’illustrations très intéressantes sur notre époque. La plus grande partie du livre était basée sur l’histoire depuis la catastrophe, des années 1950 à aujourd’hui, l’année 2133.

Elle avait été publiée après cinq ans de recherches par un certain Randall Grigs, un des premiers voyageurs du nouveau monde.

Notre livre préféré nous avait instruits sur ce monde pré-apocalyptique, c’est en le lisant que nous avons appris qu’il existait un monde bien plus vaste hors de notre petit abri et que nous vivions sous terre à cause d’une catastrophe biologique.

En 1956, après une fuite dans un laboratoire de recherche en Arizona, un virus c’est échappé et à contaminé le monde, ceux qui furent atteint par le virus eurent un comportement agressif et dangereux. Il n’existait aucun remède, la contamination se fessait par le sang et la salive. Voyant que les populations se décimaient, que les humains mourraient ou devenaient des monstres, les grandes puissances internationale utilisèrent « la solution de la dernière chance » : ils entassèrent le plus de monde possible dans des abris construit en cas de conflit nucléaire, déversèrent des tonnes de napalm sur les villes, puis lancèrent une série de bombes dites « sales », pour exterminer le virus. Le livre disait que les premiers dirigeants des abris à l’époque avait reçus des consignes qui résultaient à confiner les populations et à leur interdire la sortie à la surface. Les abris gardèrent un contact radio permanent avec les gouvernants jusqu’en 1960, année où la terre trembla pendant dix interminables minutes et où le signal radio si précieux fut perdu.
Depuis, les générations se succédaient paisiblement sous terre.

A 19 ans, nous devions passer un examen approfondis portant sur le livre pour être considéré comme responsable, et, à 20 ans si nous avions obtenu le diplôme, nous étions autorisés à sortir de l’abri 105. La plupart décidaient de rester, le monde extérieur nous fessais tous peur c’était évident, d’autant plus que jamais un seul habitant sorti sur les terres en surface n’était revenu…
J’ai quand à moi toujours été fasciné par ce vaste monde inconnu et ma sortie de l’abri était prévue pour le mois prochain.


Les notes de piano les plus funky de l’ancien rock résonnaient chaque jour dans les étroits couloirs métalliques de l’abri, elles provenaient de la radio de Johny Dean, l’ainé et le patron de notre patrie souterraine. Johny avait tout du cow-boy des années 50 qui était illustré dans la bible du monde, du chapeau aux bottes en passant par l’incontournable foulard rouge qui entourait son cou ridé. Sa musique nous suivait du matin au soir, nous vivions au rythme du rock de l’ancien monde.


« Eddy, nous t’attendons dans la salle de réunion » Cracha le haut parleur de l’abri.

C’était la voix Richard, le second de Johny qui m’avais prévenu la veille d’un possible entretient ce matin avec le comité de la communauté.

En me rendant à la réunion, je croisais Elise et Jason, des amis d’enfance qui me lancèrent un salut amical suivi d’un chaleureux « Bonne chance ! »

Le sourire me revint après les avoir remercié et je continuai me route.

J’arrivais à la salle décontracté, Johny et Richard étaient assis autour de la grande table avec cinq membres actifs de la communauté que je connaissais de vue.

« Ah ! Eddy ! Assis toi donc, nous allons commencer. »

Je m’assis en bout de table, quelque peut intimider par les multiples regards posés sur moi et une série de questions me furent posé.

« As-tu ta carte communautaire ? »
« Est tu sur de vouloir sortir de l’abri ? »
« Devons nous te rappeler que les membres qui sont sortis ne sont jamais revenus ? »
« Donne-nous les raisons de ta décision. »
« Qu’envisages-tu de faire dehors ? »

Et parmi toutes ces questions, une phrase retenu particulièrement mon attention en fin d’entretien :

« Nous souhaitons te confier une mission particulière » dit Johny, le patron.

« Une mission particulière dites vous ? Laquelle ? » Répondis je.

« Eh bien tu es la première personne à sortir de l’abri depuis bien des années, j’aurai bien demandé cela à quelqu'un d’autre mais tu es le seul.

Pourras-tu nous cartographier la surface, prendre des notes de tout ce que tu vois, et revenir nous informer ? Voit tu notre bible est ancienne, elle à été écrite par un voyageur qui à réussi il y a de cela des décennies, à retourner à son abri et le monde à forcément changé depuis. » Dis Johny.

« Je verrais ce que je peux faire, mais je ne vous garanti rien » Lui dis je.

« Oui fait cela, nous t’attendrons, tu as jusque l’année prochaine Eddy. » Dis le second Richard.

« Donc tu pars le mois prochain, d’ici là, l’ancien qui garde l’armurerie t’apprendra à te servir des armes qu’il te fournira à ton départ. » ajouta un membre de la communauté assis à coté de moi.

« La séance est close, reprenez vos activités» fini Johny.



C’était le jour le plus important de toute ma vie, j’allai embrasser mes amis, je pourrai enfin sortir dans quelques minutes.

Johny m’attendais devant l’énorme porte métallique ronde qui menait vers l’extérieur.

« Je t’ouvrirais la seconde porte dans environ dix minutes, n’oublie pas ta tache et fait attention à toi » dis Johny.

«Je reviendrais au plus vite » lui répondis-je en l’enlaçant pour la première fois de mon existence


La porte marquée du nombre 105 pivota lentement dans un grincement sinistre, je jetais un dernier coup d’œil à l’abri puis avançais. Je marchais dans un couloir bétonné et monotone, qui une fois la porte fermée, fut rempli d’un silence glacial. Après avoir marché vivement durant plus de cinq minutes dans cet étrange couloir qui s’inclinait à environ 20° pour rejoindre la surface, j’atteignais la deuxième et dernière porte, celle qui me séparait du monde extérieur.
Quelques minutes plus tard retentit un second grincement, similaire à celui de la porte principale, mais cette fois plus lancinant, la porte peinait à rouler sur ces gonds, de la poussière qui tombait de ces engrenages m’obligea à reculer. Je fixais la porte en espérant qu’elle s’ouvre... Un dernier rugissement du métal et une intense lumière m’aveugla. Je fermis les yeux aussitôt.


Un vent chaud me caressais le visage, je fis trois pas en avant et lorsque j’ouvris les yeux, une bourrasque de vent vint me frapper et ma déséquilibra, je manquai de tomber et me rattrapais in extrémiste à un gros rocher.

Mon cœur se mit à palpiter anormalement à la vision de ce monde dévasté. La bible du monde n’était qu’une ébauche de la réalité, le monde actuel n’avais plus rien à voir avec ses illustrations datés. La végétation était rare, le désert dominait l’horizon rougeâtre, surplombé de quelques hautes tours désossés. Le vent disséminait la terre poussiéreuse dans un ciel bleu nuancé d’un vert chimique.


Avant ma sortie, Richard que j’avais croisé dans les couloirs m’avait remis un son appareil photo pour imager chacune de mes rencontres et découvertes, une photo s’imposa donc.
Aussitôt fait, je mis mon fusil à l’épaule, mon sac sur mon dos et je filai, bien décidé à explorer l’immense territoire dévasté qui avait fais vivre les hommes durant des millénaires.

Mon premier objectif était la cabane délabrée que j’avais aperçue à quelques kilomètres. Je courais, ivre de bonheur, quelque peut désorienter et malade par la découverte de ma réelle acuité visuelle qui m’étais inconnue dans le minuscule abri souterrain.
L’air soufflée par les ventilateurs automatique ne me manquait pas, même si celle que je respirais actuellement m’irritais quelque peut la gorge, une sensation de liberté totale embaumais mon être et me rendait heureux.


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J'attend vos critiques, qui je pense fuserons de touts les cotés !
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quelques petites erreurs au niveau de la forme (du genre ;répondis-je*/tâche*/je ne vous garantis*/Johnny m'attendait*/un virus s’est échappé*/quelque peu* désorienté* ) pas que ça crève les yeux ,mais pour une nouvelle ça vaut le coup de le travailler un peu plus . (ceci est plus ou moins un impératif) au niveau du fond ,j'ai lu pire (un petit coup d'encouragement) -au niveau des virus- et bien en 1956 on en sais pas suffisamment sur les virus, en fait en 1956 il n'existe pas de définition claire de ce qu'est un virus , mais ça tu peut le rattraper par une astuce scénaristique donc c'est pas bien grave. on retrouve des références à fallout ,mais c'est voulu le rythme est rapide , très ... trop ? le problème c'est que j'ai un peu de mal a m'identifier au personnage principal (je dit j'ai parce que j'aime pas les on) tu devrait travailler un peu plus sur ce qu'il ressent , notement à la sortie de l'abri , c'est la première fois la lumière du soleil , le ciel , de la végétation (peut être ),le vent , "bienvenu dans le monde réel Eddy" (ça c'est des petits conseils / que tu peut franchement envoyer chier , tu fait ce que tu veut ) BOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU (une dose de peur) sinon continu ,j'attends la suite !,comme dirait mon prof d'anglais " GO On Biatch !"(ceci est un encouragement) voila , une critique constructive !!!!

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Merci ! Oui alors les fautes j'avoue que je n'avais même pas remarqué ! Des fautes horrible en plus ... ! 1956, j'ai mis sa pour garder un aspect "rétro" , sinon je peut bien évidemment renommer le virus, le changer pour "une maladie". Je vais m'attarder sur les détails, parce que c'est vrai que c'est trop rapide. J'ai fait sa en une soirée, j'étais crevé mais inspiré (c'est bizarre sa!?) , j'avais corrigé des grosses incohérence le lendemain et la je me rend compte que c'est encore bourré d'erreurs ! Mais rien de grave, je suis là pour progresser :) Merci pour la critique, je m'y remet dès que possible.

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pour ce qui est du virus ,tu peut le garder (tu peut impliquer une société secrète avancée scientifiquement ,ou le gouvernement qui cachais des avancées scientifiques majeures (guerre froide tout ça ... ) ,
t'as choisi un virus qui se transmet par les fluides corporels , faudra aussi que tu trouve (éventuellement si il existe encore ) une explication pour le faire agir 177 ans après , il peut par exemple être transporté par des rongeurs ,insectes ...

j'étais crevé mais inspiré (c'est bizarre sa!?)


t'en fait pas trop pour ce que t'as écrits , rome ne s'est pas faite en un jour , Kubrick a renié sa première œuvre (il en avait honte ) et je sais plus si c'est hugo ou balzac qui écrivait des pages entières tout les jours et les jetait au feu ,

un bon texte ça se fait pas en un coup .... sauf si tu t'appelle luchini :P

pour ce qui est de la fatigue ,comme pour le stress ,ça ne fait pas que du négatif ! ! !

enfin ,te décourage pas
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J'avais pensé au gouvernement qui cachais sa, donc tu confirme que sa peut le faire. Le virus subsistera oui (sinon sa serai moins marrant ^^) et puis sa serai cool des contaminés par le virus et irradiés ! Je ne peut me comparer à un véritable auteur, je m'instruis c'est tout, mais pourquoi pas essayer, il y à un début à tout.

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J'vais d'abord lister deux-trois fautes qui m'ont un peu dérangés, puis ensuite j'donnerais mon avis sur la forme et peu être le deux, j'suis un un peu mal placé pour te donner des conseils, mais bon...

Donc:-"c’est échappé" verbe pronominal-"à contaminé" verbe avoir et non une proposition-"fessait" faisait-"se décimaient" décimer n'est pas un verbe pronominal, dis plutôt "étaient décimées"-"des abris construit" un s-"avait reçus" pas de s-"C’était la voix Richard, le second de Johny qui m’avais" un "de" manquant et c'est "avait"-"entretient" pas de t-"Assis toi" existe pas c'est "assieds-toi"-"quelque peut" peut-"intimider" intimidé-"Voit tu" vois-tu-"elle à été" a-"à réussi" de même-"à forcément" bon t'as compris j'imagine x)-"fait cela"fais-"jusque l’année" jusqu'à-"fini Johny" finit-"Johny m’attendais" m'attendait-"fait" fais-"puis avançais"-"caressais" caressait-"in extrémiste" on dit "in extremis"-"quelque peut désorienter"-"m’étais inconnue"-"L’air soufflée"-"ventilateurs automatique"-"celle"-"m’irritais quelque peut"-"Eh bien" "et"
Alors j'ai relevé la plupart des erreurs parce que je sais pas si c'est de l'inattention ou des règles de grammaires que tu connais pas, du vocabulaire etc


Et aussi, tant que j'y pense, les dialogues, bah ils suivent pas la convention!

« Nous souhaitons te confier une mission particulière » dit Johny, le patron.

« Une mission particulière dites vous ? Laquelle ? » Répondis je.

« Eh bien tu es la première personne à sortir de l’abri depuis bien des années, j’aurai bien demandé cela à quelqu'un d’autre mais tu es le seul.

Pourras-tu nous cartographier la surface, prendre des notes de tout ce que tu vois, et revenir nous informer ? Voit tu notre bible est ancienne, elle à été écrite par un voyageur qui à réussi il y a de cela des décennies, à retourner à son abri et le monde à forcément changé depuis. » Dis Johny.

J'aurais plutôt dis

«Nous souhaitons te confier une mission particulière, dit Johny, le patron.
-Une mission particulière dites vous? Laquelle? répondis-je.
-Et bien tu es la première personne à sortir de l’abri depuis bien des années, j’aurai bien demandé cela à quelqu'un d’autre mais tu es le seul.Pourras-tu nous cartographier la surface, prendre des notes de tout ce que tu vois, et revenir nous informer? Vois-tu, notre bible est ancienne, elle a été écrite par un voyageur qui a réussi il y a de cela des décennies, à retourner à son abri et le monde a forcément changé depuis», dit Johny.

C'est pas que ca me dérange (en fait si) mais c'est pas comme ca qu'on écrit un dialogue. Tiens pour t'aider: http://ffnetmodedemploi.free.fr/dialogue.php

Bon maintenant que la partie chiante et inutile est finie, je vais juste dire un truc sur les références à Fallout, je trouve juste qu'il y en a trop, si tu avais pas mis les années au début du texte, j'aurais limite pris ca pour une fan-fic, mais bon c'est un choix perso qui dépend pas de moi hein.


Ensuite, au niveau du style, alors y a quelques gros problèmes de répétitions par moment, comme le passage de la sortie, le mot "porte" est répété pas moins de huit fois, c'est un chouïa pénible, n'importe quel pronom ou synonyme fait plus ou moins l'affaire je pense.

Mis à part les répétitions, j'dois avouer que le rythme de tes phrases me dérange, j'trouve ca trop saccadé, limite pénible par moment, c'est à dire que les virgules, entre autres, sont pas toujours très bien placés:

Je marchais dans un couloir bétonné et monotone, qui une fois la porte fermée, fut rempli d’un silence glacial.

Personnellement, couper sa phrase(avec une virgule)pour mettre un pronom ensuite, j'trouve ca sympa, mais on ne peut pas mettre un verbe derrière! Car le verbe fait partie de la proposition placée avant la virgule m'voyez(en plus j'trouve ca moche)? Et aussi, même quand c'est pour mettre un pronom derrière, le faire deux fois dans une phrase c'est trop je trouve.

Après, pour le rythme, je plussoies Jacob (ce génie) les transitions sont mal foutues.

« La séance est close, reprenez vos activités» fini Johny.

C’était le jour le plus important de toute ma vie, j’allai embrasser mes amis, je pourrai enfin sortir dans quelques minutes.

J'ai pas du tout l'impression qu'un mois s'est écoulé, mais alors pas du tout! Mais je sais pas faire des transitions donc j'ai pas de conseils à te donner.


Voila, ca c'est fait, pour le fond maintenant, bah vu que c'est une nouvelle qui, à mes yeux, ressemble plus à un premier chapitre, j'ai pas vraiment d'avis là-dessus.C'est relativement simple, concis, pas de réelle intrigue, donc j'attends de voir une suite ou sinon quelque chose de plus complet!


En espérant avoir pu t'aider.

Seigneur Gardakan, vous avez un postérieur, ma foi, très hospitalier.

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Merci infiniment pour ton aide, Je vais pouvoir corriger mes erreurs. Pour le dialogue et la forme du texte, j'ai du espacer le tout pour le rendre "lisible", sinon sa aurais fait un gros pavé. Je ne sais pas si c'est une nouvelle ou autre, j'ai écris au feeling. Maintenant j'ai eu ce que je voulais, c'est à dire : Une correction qui ma permis de connaitre mes plus grosses erreurs ! Quand à la construction de mes phrases c'est un gros soucis, j'ai tendance à mettre des virgules en trop et pour rien ! Je m'en vais corriger ce "brouillon" :smilewinkgrin: Merci encore pour ton aide.

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Faudrait savoir où se situe ton texte dans le global. C'est un prologue ? Un 1er chapitre ? L'idéal serait de camper le décors, l'histoire, le perso principal. Là on a bien l'unité de temps mais seulement une partie de l'unité de lieu. Ok on semble être aux USA et dans un abri. Mais où ? Une babiole du genre "Notre abri est situé dans ce qui était appelé (nom de l'état) avant la grande catastrophe." Au moins on pourra se situer et peut être comprendre que le monde a bien changé quand le héros décrira ce qu'il voit. (ou pas ^^. Decouvrir un desert s'il est au Nevada, Arizona, Nouveau Mexique, ca n'aura rien de bien palpitant ;) ) IMPORTANT. QUI est le héros ? Savoir au moins en partie ce qu'il a dans la tête permet plus d'immersion et aide à comprendre pourquoi il fait ceci ou cela. Pourquoi sort il ? On lui file une mission après qu'il semble avoir décidé de sortir. Il faudrait qu'il réponde aux 2 questions qu'on lui pose et qui éclairerai notre lanterne: « Donne-nous les raisons de ta décision. » « Qu’envisages-tu de faire dehors ? » Ca te simplifiera aussi la vie pour le découpage. Si ton 1er chapitre c'est la génése (qui, quand, où, quoi, pourquoi), tu peux faire débuter ton 2eme par "la sortie", glissant ainsi sur les 4 semaines de préparation si t'as pas envie de te les farcir (même si ca aurait pu être sympa de faire monter la pression). Sinon, ton virus est un peu "gentillet" par rapport à ce qui a été fait pour tenter de l'éradiquer. Il ressemble trop au SIDA avec la transmission par fluide et donc pas trop compliqué à empecher de trop se répandre. Rends le plus méchant avec une transmission par contact et/ou inhalation. Là ce serait vraiment une galère sans nom. Il rend les gens fous meurtriers ? Génial, donc il s'attaque au cerveau et les rares recherches de vaccins/serums qui ont réussis à tuer le virus détruisaient aussi le cerveau. Là on comprendrait mieux le pourquoi de ce qui a été fait. Tu ne le précise pas mais c'est un fléau mondial ou juste aux USA ? Fais gaffe à tes métaphores et figures de style, c'est parfois étonnant ou comique (ce qui est pas le but je pense ^^) du genre: "Les notes de piano les plus funky de l’ancien rock" Du rock funky ? :dita: en plus comme tu as décidé que tout le monde est bouclé depuis 1956, le funk existe pas. (ce qui va te compliquer la vie puisque dans l'absolu tout ce qui a été inventé depuis devrait pas se retrouver dans ton histoire sans une solide raison) "une sensation de liberté totale embaumais mon être " La sensation sentait très bon ou ton héros est déjà mort ? :D "emplissait" collera bien mieux ;) Valavala ;)

Un scribe assis va moins loin qu'un mutant qui marche.

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Merci, Je vais travailler dessus. Effectivement l'histoire se passe aux USA, je vais réfléchir à l'endroit exact. Contamination par contact sa me parait mieux en effet. Quand aux métaphores, c'est vrai qu'elle sont particulières ! Je ne savais pas comment nommer cela, alors j'ai dis Funky!

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J'ai enfin trouvé un peut de temps et de courage pour corriger quelques fautes, j'ai aussi ajouté deux trois éléments, en italique avant le chapitre deux par exemple. Je pense qu'il reste des fautes.


THE UNKNOWN WORLD



La bible du monde, cet incroyable livre était distribué à chacun d’entre nous dès le plus jeune âge, elle regorgeait d’illustrations très intéressantes sur notre époque. La plus grande partie de l’ouvrage était basée sur l’histoire de notre monde depuis la catastrophe, des années 1950 à aujourd’hui, l’année 2133. Elle avait été publiée après cinq ans de recherches par un certain Randall Grigs, un des premiers voyageurs du Nouveau Monde. Notre livre préféré nous avait instruits sur ce monde préapocalyptique, c’est en le lisant que nous avions appris qu’il existait un monde bien plus vaste hors de notre petit abri et que nous vivions sous terre à cause d’un désastre biologique.

En 1956, après une fuite dans un laboratoire de recherche en Arizona, un virus s’est échappé et a contaminé le monde, ceux qui furent atteints par le virus eurent un comportement agressif et dangereux. Il n’existait aucun remède, la contamination se faisait par contact et inhalation. Voyant que les populations s’entretuaient, que les humains mourraient ou devenaient des monstres, les derniers dirigeants des nations utilisèrent « la solution de la dernière chance » : ils entassèrent le plus de monde possible dans des abris construits en cas de conflit nucléaire, déversèrent des tonnes de napalm sur les villes, puis lancèrent une série de bombes dites sales, pour exterminer le virus. Le livre disait que les premiers dirigeants des abris à l’époque avaient reçu des consignes qui résultaient à confiner les populations et à leur interdire la sortie à la surface jusqu'à nouvel ordre. Les populations subterriennes gardèrent un contact radio permanant avec les gouvernants jusqu’en 1960, année où la terre trembla pendant dix interminables minutes et où le signal radio si précieux fut perdu. Depuis, les générations se succédaient paisiblement sous terre.

A 19 ans, nous devions passer un examen approfondi portant sur le livre pour être considéré comme responsable, et, à 20 ans si nous avions obtenu le diplôme, nous avions l’autorisation de sortir de l’abri 105. La plupart décidaient de rester, le monde extérieur nous fessait tous peur c’était évident, d’autant plus que jamais un seul habitant sorti sur les terres en surface n’était revenu…
Contrairement aux autres, j’ai toujours été fasciné par ce vaste monde, une attirance inédite envers l’inconnu qui m’apportait l’incompréhension tout mes proches, attachés à leur abri sous-terrain.



Chapitre 1



Les notes de piano les plus entrainantes du rock résonnaient chaque jour dans les étroits couloirs métalliques de l’abri, elles provenaient de la radio de Johny Dean, l’ainé et le patron de notre patrie souterraine. Johny avait tout du cow-boy des années 50 qui était illustré dans la bible du monde, du chapeau aux bottes en passant par l’incontournable foulard rouge qui entourait son cou ridé. Sa musique nous suivait du matin au soir, nous vivions au rythme du rock de l’Ancien Monde.

« Eddy, nous t’attendons dans la salle de réunion » Cracha le haut-parleur de l’abri. C’était la voix de Richard, le second de Johny qui m’avait prévenu la veille d’un possible entretient ce matin avec le comité de la communauté.
En me rendant à la réunion, je croisais Élise et Jason, des amis d’enfance qui me lancèrent un salut amical suivi d’un chaleureux « Bonne chance ! »
Le sourire me revint après les avoir remercié et je continuai me route.
J’arrivais à la salle décontracté, Johny et Richard étaient assis autour de la grande table avec cinq membres actifs de la communauté que je connaissais de vue.

« Ah ! Eddy ! Assieds-toi donc nous allons commencer. Commença Johny.
Je m’assis en bout de table, quelque peut intimidé par les multiples regards posés sur moi et je dus répondre à une série de questions :

-As-tu ta carte communautaire ? demanda un membre du conseil que je ne connaissais pas.

-Evidement, répondis-je

-Es-tu sûr de vouloir sortir de l’abri ? Tu es en sécurité ici tu sais ?, poursuivi-il

-Absolument, je veux sortir, c’est mon choix. Assurai-je

-Devons-nous te rappeler que les membres qui sont sortis ne sont jamais revenus ?, m’interrogea Richard.

-Se serai inutile, je suis conscient du danger qui me guette dehors, j’ai longuement réfléchi. Répondis-je

-Maintenant, donne-nous les raisons de ta décision et qu’envisages-tu de faire dehors Eddy ? Demanda Johny.

-Je souhaite découvrir le monde depuis toujours, je ne me résignerais pas à vivre sous terre toute ma vie. Je pense qu’il faut voir plus loin, qu’il faut arrêter d’avoir peur de l’inconnu.

En fin d’entretien, une phrase m’intrigua :
« Nous souhaitons te confier une mission particulière, dit Johny, le patron.

- Une mission particulière dites-vous ? Laquelle ? Répondis-je

-Eh bien tu es la première personne à sortir de l’abri depuis bien des années, j’aurai bien demandé cela à quelqu'un d’autre, mais tu es le seul. Pourras-tu nous cartographier la surface, prendre des notes de tout ce que tu vois, et revenir nous informer ? Vois-tu notre bible est ancienne, elle a été écrite par un voyageur qui à réussi il y a de cela des décennies à retourner à son abri et le monde à forcément changé depuis.», Dit Johny.

-Je verrais ce que je peux faire, mais je ne vous garantis rien, indiquai-je.

-Fait cela, nous t’attendrons, tu as jusqu’a l’année prochaine Eddy. Dis le second Richard.

-Donc tu pars le mois prochain, d’ici là, l’ancien qui garde l’armurerie t’apprendra à te servir des armes qu’il te fournira à ton départ. Ajouta un membre de la communauté assis à ma droite.

« La séance est close, reprenez vos activités» finit Johny.

[…]



Ma formation avait débuté depuis une semaine : Le vieux Paul m’avait appris à me défendre selon les règles d’un livre d’avant-guerre, une méthode peut-être dérisoire, mais qui valait mieux que rien. Nous avions établi de nouvelles théories concernant ce qui pourrait me guetter dehors, parmi elles, la possibilité que le monde ait été en partie rebâti, peut-être plus au nord…
Arrivé à la deuxième semaine, Paul me montrait comment fonctionnait son ancien fusil, le seul en était de marche. C’était un vieux fusil rouillé avec ses initiales gravées sur la crosse, un souvenir transmit de génération en génération dans sa famille, Paul n’avait pas d’enfant, mais il ne voulait pas que la tradition s’arrête ainsi.
Bien que ce fus la première avec laquelle je tirai, je fus étonné par la puissance et la précision de l’arme antique. Chaque jour, à seize heures, je tirais une série de dix cartouches qui faisaient résonner les sous-sols déserts. J’avais disposé une série d’objets sur une table que je reculais au fil du temps.





Chapitre 2



C’était le jour le plus important de toute ma vie, j’allai embrasser mes amis, je pourrai enfin sortir dans quelques minutes. Johny m’attendait devant l’énorme porte métallique ronde qui menait vers l’extérieur.

« Je t’ouvrirais la seconde porte dans environ dix minutes, n’oublie pas ta tâche et fais attention à toi » dit Johny.

«Je reviendrais au plus vite » lui répondis-je en l’enlaçant pour la première fois de mon existence

La porte marquée du nombre 105 pivota lentement dans un grincement sinistre, je jetais un dernier coup d’œil à l’abri puis avançais. Je marchais dans un couloir bétonné et monotone qui une fois la porte fermée, fut rempli d’un silence glacial.
Après avoir marché vivement durant plus de cinq minutes dans cet étrange couloir qui s’inclinait à environ 20° pour rejoindre la surface, j’atteignais la deuxième et dernière porte, celle qui me séparait du monde extérieur. Quelques minutes plus tard retentit un second grincement, similaire à celui de la porte principale, mais cette fois plus lancinant, la porte peinait à rouler sur ces gonds, de la poussière qui tombait de ces engrenages m’obligea à reculer. Je fixais la porte en espérant qu’elle s’ouvre... Un dernier rugissement du métal et une intense lumière m’aveugla. Je ferma les yeux aussitôt.

Un vent chaud me caressait le visage, je fis trois pas en avant et lorsque j’ouvris les yeux, une bourrasque de vent vint me frapper et ma déséquilibra, je manquai de tomber et me rattrapais in extremis à un gros rocher.
Mon cœur se mit à palpiter anormalement à la vision de ce monde dévasté. La bible du monde n’était qu’une ébauche de la réalité, le monde actuel n’avait plus rien à voir avec ses illustrations datés. La végétation était rare, le désert dominait l’horizon rougeâtre, surplombé de quelques hautes tours désossé. Le vent disséminait la terre poussiéreuse dans un ciel bleu nuancé d’un vert chimique.

Avant ma sortie, Richard que j’avais croisé dans les couloirs m’avait remis un son appareil photo pour imager chacune de mes rencontres et découvertes, une photo s’imposa donc. Aussitôt fait, je mis mon fusil à l’épaule, mon sac sur mon dos et je filai, bien décidé à explorer l’immense territoire dévasté qui avait fait vivre les hommes durant des millénaires.

Mon premier objectif était la cabane délabrée que j’avais aperçue à quelques kilomètres. Je courais, ivre de bonheur, quelque peu désorienter et malade par la découverte de ma réelle acuité visuelle qui m’étais inconnue dans le minuscule abri souterrain. L’air soufflé par les ventilateurs ne me manquait pas, même si celui que je respirais actuellement m’irritait légèrement la gorge, une sensation de liberté totale me transportais et me rendais heureux.










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  • 4 semaines après...

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